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Fiches pratiques
Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants
Fiche pratique
Pratique acceptée

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.

Pratiques détenant un cadre et largement intégrées :
• La formation est reconnue
• Il n'y a pas de risques spécifiques
• Il n'y a pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

Fiche pratique

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Le bien-être des aidants : l’A-MCA porte une étude scientifique sur la sophrologie auprès des aidants

L’A-MCA mène une étude scientifique sur trois années visant à mesurer les effets de la sophrologie auprès des aidants. Une façon de répondre à des enjeux à la fois scientifiques et sociétaux. 

Temps de lecture :
Lieu :
Publié le :
30/5/22
Catégorie :
Études scientifiques

Le point de départ ? Un rapport publié par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), effectuant un état des lieux sur l’efficacité et la sécurité de la sophrologie. « L’Inserm a mené une revue systématique et a identifié les études scientifiques sur la sophrologie, explique Marion VERGONJEANNE, épidémiologiste, chargée de projets post-doctorante au sein de l’A-MCA. Dans ses conclusions, l’Inserm retient qu’il existe peu d’études sur le sujet, et que les résultats ne permettent pas de conclure de l’efficacité de la pratique, d’autant plus qu’elles présentent des faiblesses méthodologiques. » « Pourtant, les MCA ont besoin d’études rigoureuses, notamment la sophrologie, soutient Véronique SUISSA. Cette pratique est de plus en plus déployée par des associations, des établissements, des structures de prise en charge des publics fragiles. Si elle détient une assise avec des formations reconnues (diplômes universitaires, titres inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles), elle manque toutefois d’évaluation. »

Première étude scientifique interventionnelle auprès des aidants

En parallèle, « la société fait ressortir le besoin criant de soutien des aidants, parfois fragilisés et se retrouvant dans des situations de santé très lourdes », rappelle Véronique SUISSA. Parfois « grands oubliés », ils ont pourtant un vrai besoin d’attention et d’accompagnement à leur qualité de vie. L’A-MCA a donc décidé de porter la première étude scientifique interventionnelle, afin de mesurer l’efficacité de la pratique dans le cadre d’une méthode mixte (quantitative et qualitative).

L'étude se veut robuste. « Nous travaillons  avec différents chercheurs et experts scientifiques pour délimiter les enjeux et la démarche de recherche » indique Véronique SUISSA. En outre, cette étude portée par l’A-MCA sera mise en œuvre avec différents acteurs et partenaires de recherche.  « Au-delà de nos chercheurs épidémiologistes, M. VERGONJEANNE, et N. LEMEUNIER, des éminents Universitaires issus de différents laboratoires de recherche (Professeurs en médecine, Professeurs en psychologie, épidémiologistes...) sont impliqués dans l'étude permettant de lui apporter à la fois une rigueur scientifique et une dimension transversale.  Nous sommes honorés de bénéficier de l'expertise pointue de grands noms de la recherche tels que le Pr A. BIOY (Université Paris VIII), le Pr C-M. KRUMM  (EPP - Ecole de Psychologues Praticiens), le Pr Émérite A. BLANCHET (EPP), le Pr G. BERRUT (Université de Nantes) », ajoute Véronique SUISSA.

« Dans le même temps, nous travaillons sur l’approche terrain en lien avec la pratique de sophrologie », ajoute-t-elle. L' A-MCA a décidé de solliciter Catherine ALIOTTA, présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie depuis 2011, en tant que référente terrain, de manière à accompagner les dimensions de terrain associées à l’étude. Plus exactement, elle pilotera un groupe représentant les sophrologues et chargé de modéliser le contenu des séances selon le cahier des charges scientifiques. Ce groupe sera impliqué dans la sélection des praticiens à partir de critères définis par le protocole de recherche. Catherine ALIOTTA supervisera également les praticiens, en lien avec les chercheurs, pour s’assurer de l’homogénéité des séances tout au long de la phase de mise en œuvre. « Les dimensions de terrain sont fondamentales pour s’assurer de la qualité de la démarche et réduire les biais liés à l’étude, souligne Véronique SUISSA. Le terrain a besoin de la recherche tout comme la recherche ne peut faire sans le terrain. »

Une étude inédite, solide et utile

L’étude est inédite en France en ce sens qu'aucune recherche ne s'est attachée à évaluer la sophrologie auprès d'aidants. Plus largement, la sophrologie manque d'études et celles qui existent comportent de nombreux biais méthodologiques rapportés par l'Inserm. Faire avancer la recherche est un enjeu pour l'A-MCA qui soutient l'importance du triptyque "Évaluation - Formation - Intégration". Le niveau d'assise des pratiques varie d'une pratique à l'autre. Certaines ont montré leur efficacité sur certains symptômes (ex. réduction de la douleur par l'hypnose) mais ne bénéficient pas de normes de formation. À l'inverse, des pratiques détiennent des normes de formation (ex. Titre RNCP et norme AFNOR pour la sophrologie) mais n'ont pas d'assise scientifique. Pour avancer, il faut soutenir la recherche dans le domaine et c'est tout l'enjeu de cette étude. 

L'enjeu est de construire une étude solide afin d’aboutir à des résultats et des conclusions exploitables, même si d’autres recherches devront, à terme, être menées. « Le nombre de participants devra, par exemple, être suffisant, complète Marion VERGONJEANNE. De même qu’il faudra au maximum limiter les biais, afin de mener à bien une étude interventionnelle avec un niveau de preuves suffisamment important. »

Enfin, la notion d'utilité est ce qui anime cette étude. Il n'est plus à prouver la souffrance des aidants et l'importance de prendre soin de ceux qui prennent soin de leurs proches. Les aidants est une population qui n'a pas été choisie au hasard. Les pratiques sont souvent étudiées auprès de patients mais plus rarement auprès de ceux qui les accompagnent. Si cette étude représente un pas scientifique important dans le domaine des MCA, elle sera avant tout le moyen de répondre à des enjeux sociétaux en termes de prise en considération du bien-être et de la qualité de vie des aidants et plus largement des personnes souhaitant s’orienter vers la sophrologie.

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