Accueil
S'informer sur les MCA
Articles à thématique
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
S'informer sur les MCA
Interviews d'experts
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
Nos activités
Activités de l'A-MCA
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
Nos activités
Activités du RC-MCA
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Accueil
S'informer sur les MCA
Fiches pratiques
Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"
Fiche pratique
Pratique acceptée

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

Fiche pratique

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

Fiche pratique
Pratique recommandée

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

Fiche pratique
Pratique rejetée

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Éric SANCHEZ : "Il faut démocratiser l'accès aux pratiques alternatives et complémentaires"

Éric SANCHEZ

Directeur des initiatives sociales AG2R La Mondiale Expert institutionnel du pôle réflexion A-MCA

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
26/1/22
Catégorie :
Visions de terrain

Depuis plus de 10 ans, AG2R LA MONDIALE propose à ses adhérents une sensibilisation aux approches complémentaires et alternatives. Pourquoi un tel engagement ? Le point avec Éric SANCHEZ, Directeur des particuliers au sein des activités sociales.

AG2R LA MONDIALE est partenaire de certaines actions de l’A-MCA. Pourquoi ce choix ?

En tant que Directeur des particuliers au sein des activités sociales AG2R LA MONDIALE, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Serge Guérin, cofondateur de l’A-MCA, qui m’a parlé des actions de cette structure.

Depuis de nombreuses années, dans le cadre de l’action sociale de AG2R LA MONDIALE, nous travaillons à la mise en place d’actions dans le domaine des approches complémentaires, notamment dans le domaine du bien-être. Nous avons d’ailleurs créé dès 2008 le Village bien-être. À l’époque, la démarche était novatrice. Sur un même lieu, nous proposons différentes pratiques pour le bien-être et la bonne santé, comme des séances de taï-chi, de nutrition, de psychologie positive ou encore de médiation pleine conscience. Nous offrons une palette d’outils avec des professionnels reconnus

permettant de tester différentes activités. Nous proposons ces pratiques comme approches complémentaires à la santé des personnes, dans le cadre d’une démarche holistique et de santé positive.

D’où ce soutien à l’A-MCA…

Je trouve la démarche de l’A-MCA particulièrement intéressante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’Agence travaille à la reconnaissance de professionnels qualifiés dans le domaine des approches complémentaires et alternatives. Il s’agit d’une démarche fondamentale, car elles peuvent être sujettes à discussion. Afin de gagner en crédibilité, il faut pouvoir s’entourer de professionnels reconnus.

Autre point positif : la volonté de l’A-MCA d’informer le grand public et d’aider à la sensibilisation et à la formation des professionnels du secteur. Cette action permet d’agir également sur les garanties, les approches promues et la lutte contre les dérives sectaires.

Enfin, je trouve vraiment intéressant la sensibilisation des pouvoirs publics à ces questions. Il ne faut pas ignorer ces pratiques utilisées par nos concitoyens.

L’analyse et les propositions d’encadrement et de sensibilisation menées par l’A-MCA permettent de crédibiliser la démarche. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous soutenons la diffusion d’informations éclairées, notamment les débats portés par l’A-MCA, impliquant des professionnels, des citoyens, des praticiens dans le cadre de nos missions.

Vous soutenez également la recherche dans le domaine des MCA. Pour quelle raison ?

Ces approches complémentaires font partie du quotidien de certains de nos concitoyens. Il est important de ne pas ignorer le phénomène tout en étant prudent et exhaustif sur les informations à diffuser, afin d’éclairer les choix et les décisions des bénéficiaires. Il est important de s’entourer de sachants, d’experts, possédant des capacités à proposer des solutions faisant consensus.

Le but ultime est de pouvoir construire et apporter de la connaissance, de façon scientifique et rigoureuse, au grand public et aux professionnels du secteur, pour amener de la crédibilité et de la pertinence, afin d’aboutir à une forme d’encadrement et de labélisation des pratiques. Il est essentiel d’obtenir des validations scientifiques de haut niveau. Dans le cadre de nos activités sociales, par exemple, cela nous permettrait de faire des propositions liées à la santé et au bien-être, en pouvant nous baser sur des pratiques référencées, reconnues, en ayant connaissance des objectifs et des modes d’actions pour celles-ci. De même qu’il n’est pas suffisant de proposer un accès à ces pratiques dans le cadre de nos actions si, en parallèle, nous ne travaillons pas à lever les freins, afin de d’en permettre un accès démocratisé. Il s’agit de construire un modèle économique tenable dans la durée pour les financeurs privés et publics, ainsi que les bénéficiaires.

Rédigé par l’A-MCA

No items found.

Photos

No items found.

Vidéos

Partenaires

No items found.

Medias

No items found.

La bibliothèque de l'A-MCA

No items found.

Pour aller plus loin

Pour aller plus loin