Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.
Face à l’engouement mondial pour les pratiques complémentaires, les États engagent de nouvelles politiques en la matière et considèrent de façon croissante l’intérêt de leur intégration dans leur système de santé. Cependant, la législation dans le domaine reste variable d’un pays à l’autre, d’autant que les traditions et cultures locales jouent un rôle dans les approches déployées.
Trois systèmes sont répertoriés par l’OMS :
1. Un système intégratif (approches reconnues et intégrées dans l’offre de soins) : les pratiques sont remboursées, accessibles dans les structures de soins et s’insèrent dans la recherche et l’enseignement. Ex. : Chine, République de Corée, Vietnam…
2. Un système inclusif (approches reconnues sans être intégrées dans tous les aspects de l’offre de soins) : les pratiques sont accessibles sans pour autant être remboursées. Des moyens permettant d’assurer leur innocuité sont déployés. Leur réglementation reste partielle, tout comme les dispositifs d’enseignement et de formation. Ex. : Canada, Royaume-Uni…
3. Un système tolérant (centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines approches) : certaines pratiques sont tolérées par le système de soins favorisant leur intégration plus ou moins formelle dans les établissements de santé. Ex. : France.