Accueil
S'informer sur les MCA
Articles à thématique
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
S'informer sur les MCA
Interviews d'experts
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
Nos activités
Activités de l'A-MCA
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
Nos activités
Activités du RC-MCA
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Accueil
S'informer sur les MCA
Fiches pratiques
Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant
Fiche pratique
Pratique acceptée

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

Fiche pratique

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

Fiche pratique
Pratique recommandée

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

Fiche pratique
Pratique rejetée

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Sophrologie : Une pratique pour se sentir exister et vivant

La sophrologie repose sur un entraînement du corps et de l’esprit, afin de développer ou de retrouver une forme de sérénité et de bien-être. Outre l’accompagnement par un sophrologue, un exercice personnel est également requis.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
7/12/21
Catégorie :
Les pratiques en MCA

« La sophrologie est souvent définie comme une méthode aidant à gérer le stress, souligne Anne ALMQVIST, sophrologue, directrice de l’École supérieure de sophrologie appliquée (ESSA). Cependant, en fonction de la visée et de la recherche de la personne la pratiquant, il s’agit davantage d’une pédagogie de l’existence ou d’une thérapie existentielle. L’objectif est de se poser dans le monde et d’être acteur de ce monde, de se sentir exister et vivant. » La sophrologie s’adresse principalement aux personnes en souffrance, concernées par le stress, les troubles du sommeil, la dépression, ou encore le burn out.

Les principes fondateurs

Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »

Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.

La pratique

Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.

Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.

Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

Liens utiles vers des publications d’Anne ALMQVIST

No items found.

Photos

No items found.

Vidéos

Partenaires

No items found.

Medias

No items found.

La bibliothèque de l'A-MCA

No items found.

Pour aller plus loin

Pour aller plus loin