L'hypnose

L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.

Pour tout savoir sur l'hypnose :

Pour en savoir plus

FORMATION : Qui sont les praticiens ?

La formation n’est pas réglementée par le code de la santé publique.

Il existe des formations universitaires (sous la forme de DU/DESU) destinées aux professionnels de santé. Les formations non universitaires des instituts privés ou associatifs ne forment pas tous à l’hypnose à visée thérapeutique et peuvent être accessibles à tout public.

L’hypnopraticien doit être formé et utiliser l’hypnose dans son domaine de compétence.

RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?

Les effets indésirables sont rares et bénins (fatigue, maux de tête, vertiges, sensation de malaise, etc.). Cependant, certains risques existent, comme la manipulation mentale (fabrication de faux souvenirs) pouvant aboutir à des dérives thérapeutiques ou sectaires.

L’hypnose à visée thérapeutique est toujours utilisée chez un patient consentant et adhérent à la pratique. Il s’agit d’un soin complémentaire à la médecine conventionnelle à ne pas considérer comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer (cf. Afsos).

POUR ALLER PLUS LOIN...

Les séances d’hypnose peuvent être collectives. L’hypnopraticien peut vous apprendre à déclencher un état hypnotique : il s’agit de l’autohypnose. La surdité n’est pas une contre-indication à l’hypnose, mais l’outil doit être adapté (ex : toucher et mouvement). Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’hypnose a été réalisée en 2015. Lire le référentiel de l’Afsos.