Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.
Le 20 mai 2025, l’Espace professionnel de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) a proposé une intervention inspirante en entreprise dans le cadre de ses actions de promotion de la santé durable au travail. Cette conférence, animée par le Dr Juliette Hazart, membre experte de l’A-MCA, accompagnée par Véronique Suissa, directrice de l'association, a réuni une centaine de salariés autour d’un thème à la fois universel et trop souvent négligé : l’alimentation en pleine conscience.
Cette conférence sur l'alimentation en pleine conscience est la troisième action menée cette année au sein d’une grande entreprise engagée dans l’amélioration de la qualité de vie et des conditions de travail de ses salariés. Elle fait suite à un atelier animé par le Dr Juliette Hazart auprès des dirigeants sur la régulation du stress et des émotions par la cohérence cardiaque, afin de mieux communiquer, ainsi qu’à une conférence dédiée aux salariés sur la gestion du stress.
Pendant une heure, les participants ont été invités à faire une pause dans leur journée, pour porter un autre regard sur leurs habitudes alimentaires. À travers des échanges concrets, des anecdotes, et plusieurs exercices guidés, Juliette Hazart a proposé des outils accessibles à tous pour mieux écouter son corps, ses sensations, ses émotions… et surtout, sortir du mode "pilote automatique".
Parmi les temps forts :
* Un exercice de visualisation pour observer l’impact de nos pensées sur nos ressentis corporels ;
* Une prise de conscience sur les 200 décisions alimentaires prises chaque jour, souvent sans en avoir conscience ;
* Des clés pour ralentir, savourer, mieux digérer, et apaiser la relation à la nourriture.
Cette action s’inscrit pleinement dans la mission de l’A-MCA : diffuser les approches complémentaires et adaptées au cœur des environnements professionnels, dans une logique de prévention, de bien-être et de performance globale. En mobilisant les principes de pleine conscience, l’intervention a permis d’aborder l’alimentation sous un angle bienveillant, non culpabilisant, et profondément humain.
“Quand je suis stressée ou contrariée, je me surprends souvent à grignoter, même si je n’ai pas vraiment faim…” : les paroles recueillies lors de la séance ont illustré avec justesse les tensions entre émotions et alimentation, mais aussi le potentiel de transformation qu’offre une écoute attentive de soi.
Un grand merci aux salariés présents, pour leur engagement et leur ouverture, ainsi qu’à nos entreprises partenaires pour leur confiance. Ensemble, nous semons les graines d’une santé durable, accessible et concrète, dans le quotidien des organisations.