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Fiches pratiques
Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien
Fiche pratique
Pratique acceptée

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

Fiche pratique

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

Fiche pratique
Pratique recommandée

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

Fiche pratique
Pratique rejetée

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Homéopathie et soins de support : mieux vivre la maladie au quotidien

Dans le cadre des maladies chroniques comme le cancer, les soins de support sont déployés auprès des patients. Au-delà des traitements curatifs, les approches complémentaires et notamment l’homéopathie, permettent de contribuer à leur qualité de vie.

Mots clés : Homéopathie - Soins de support - Médecine intégrative - Oncologie intégrative

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Date de publication / évènement :
23/8/25
Catégorie :
Prendre soin des personnes fragiles

Les soins de support regroupent l’ensemble des interventions destinées à améliorer la qualité de vie des personnes malades, en complément des traitements curatifs ou spécifiques de la maladie. Ils concernent la prise en charge de la douleur, des effets secondaires, du soutien psychologique ou encore de la nutrition. Dans ce contexte, les approches complémentaires occupent une place croissante : certaines relèvent du champ médical (comme l’homéopathie, l’acupuncture ou l’hypnose pratiquée par des professionnels de santé), d’autres appartiennent au champ du bien-être (telles que la sophrologie, la réflexologie ou les massages). Parmi elles, l’homéopathie illustre bien cette dynamique : proposée par des médecins et relayée par les pharmaciens, elle peut constituer un appui précieux dans le parcours de soins en oncologie.

Un accompagnement global pour les patients

Dans le cadre de maladies chroniques ou de traitements lourds comme ceux du cancer, les soins de support jouent un rôle essentiel. Leur objectif n’est pas de guérir la maladie mais d’améliorer la qualité de vie et de soutenir les patients face aux effets indésirables.

Ces soins reposent sur une approche globale : d’un côté les thérapeutiques médicales conventionnelles (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, immunothérapie…), de l’autre des approches complémentaires qui viennent enrichir la prise en charge. Certaines de ces pratiques sont proposées par des médecins ou des soignants dans une visée thérapeutique (ex. homéopathie, acupuncture, hypnose médicale, méditation de pleine conscience), d’autres relèvent davantage du champ du bien-être (ex.sophrologie, réflexologie, massages).

« Ces approches s’inscrivent dans le champ de la médecine intégrative et cohabitent avec les pratiques de bien-être, dans une perspective commune : offrir plus de confort et de personnalisation aux patients » indique Véronique Suissa, docteur en psychologie et Directrice Générale de l’Agence des Médecines ComplémentairesAdaptées (A-MCA).

L’homéopathie, un soutien dans le parcours de soins

Les travaux et la pratique clinique du DrJean-Lionnel Bagot, spécialiste en oncologie intégrative, démontrent la place de l’homéopathie dans les soins de support. Elle peut être proposée pour soulager certains symptômes liés aux traitements : fatigue, inconforts digestifs, anxiété légère, troubles du sommeil, etc. Loin de remplacer les traitements conventionnels, elle vise à aider les patients à mieux supporter leur quotidien et à préserver leur qualité de vie.

Le récent reportage de Doctissimo, mené dans le centre où exerce le Dr Bagot, illustre cette réalité : les patients témoignent d’un bénéfice lié à l’intégration de ces approches complémentaires dans leur parcours.

Les pharmaciens jouent également un rôle central. Ils accompagnent les patients dans le choix et l’utilisation sécurisée des traitements homéopathiques. « Les patients ont besoin d’être mieux orientés en matière d’homéopathie, dont ils ne maîtrisent pas toujours les applications. En ce sens, les pharmaciens détiennent un rôle clé pour guider les usagers vers les produits disponibles et adaptés en pharmacie », souligne Véronique Suissa.

Une pratique intégrative inscrite dans un mouvement plus large

Loin d’être une discipline isolée, l’homéopathie s’inscrit dans un mouvement plus large où une diversité d’approches complémentaires sont mobilisées pour améliorer la qualité de vie des patients. Acupuncture, hypnose, méditation de pleine conscience, réflexologie ou encore art-thérapies sont autant de pratiques désormais proposées en association aux soins classiques. L’homéopathie s’inscrit dans ce même mouvement, en tant qu’outil complémentaire. Sa spécificité, tout comme celle de l’acupuncture, réside dans le fait qu’elle est réservée à certains professionnels de santé, ce qui en fait un outil médical à part entière.

« Il n’est pas rare que des médecins formés à l’homéopathie exercent également d’autres disciplines telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou l’acupuncture. Lorsqu’ils ne les pratiquent pas eux-mêmes, ils n’hésitent pas à orienter leurs patients vers des praticiens qualifiés », souligne Véronique Suissa. Et d’ajouter : « Les médecins formés à l’homéopathie sont généralement sensibilisés à la médecine intégrative, ce qui leur permet de développer une approche globale de l’accompagnement ».

L’oncologie constitue un secteur pionnier dans l’intégration de ces pratiques, ce qui explique le nombre important d’études menées sur leur rôle auprès des patients atteints de cancer. Une récente publication dans le Journal de l’hypnose et de la santé intégrative (Suissa, Bioy, Zedet-Saunders, 2025) retrace ainsi l’évolution des conceptions et des pratiques en oncologie. « Dans cette étude, nous montrons comment les notions ont progressivement évolué : des soins de support aux pratiques complémentaires, jusqu’à la médecine intégrative – ou oncologie intégrative – appliquée au champ du cancer », explique Véronique Suissa. « Ces évolutions théoriques vont de pair avec les transformations observées sur le terrain, et contribuent à structurer ces approches au sein de parcours coordonnés et évalués. Des pratiques telles que l’homéopathie, l’acupuncture ou encore la méditation de pleine conscience trouvent ainsi une place croissante en oncologie », précise-t-elle.

L’intérêt scientifique et médical grandissant pour ces approches témoigne d’une volonté partagée : construire une médecine plus globale, centrée sur le patient et attentive à la diversité de ses besoins. « Le centre du Dr Bagot constitue un dispositif innovant pour les patients. La démarche intégrative proposée s’inscrit dans le prolongement naturel des soins de support. Ce n’est pas un hasard si ce type de centres se multiplie, portés par des médecins de plus en plus sensibilisés aux enjeux d’une médecine intégrative », observe Véronique Suissa, avant de conclure : « Et il n’est pas étonnant que ces pratiques se déploient aujourd’hui au-delà de l’oncologie, dans de nombreux services hospitaliers tels que la gériatrie, la psychiatrie ou encore les soins palliatifs ».

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