Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.
Le 23 juin 2025, l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) prend la parole lors de l’inauguration d’une nouvelle Maison des aidants. L'intervention s’articule en deux temps : une conférence pour poser les bases d’une approche globale du soin, suivie d’une table ronde pour illustrer les apports concrets des pratiques complémentaires.
En valorisant la santé intégrative, l’A-MCA défend une vision du soin centrée sur la personne et attentive aux réalités des aidants. Initiée sur l'invitation de Martine Aulagnier, présidente de l'association Passerelle Assist'Aidant, l’intervention est portée par Véronique Suissa, directrice générale de l’A-MCA, accompagnée de deux expertes de l'association : Chantal Zedet Saunders, psychothérapeute au centre ressource d'Aix en Provence, et Élisabeth Breton, réflexologue, formatrice et auteure. Ensemble, elles proposent des clés de compréhension, des exemples concrets et des conseils pratiques pour mieux soutenir ce public essentiel, souvent isolé.
L’A-MCA ouvre l’après-midi par une conférence qui revient sur les fondamentaux :
* Les aidants : en France, 10 millions de personnes accompagnent un proche fragilisé. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent pas comme telles. L’A-MCA rappelle leur diversité (jeunes, actifs, seniors…), leurs difficultés (épuisement, isolement, charge mentale) et l’urgence d’un meilleur accompagnement.
La Maison des aidants se veut une réponse concrète : un espace d’accueil, d’écoute, de répit, de soutien et de ressources.
* L’approche intégrative : soigner autrement, en alliant les soins conventionnels et les pratiques complémentaires, dans une démarche personnalisée et coordonnée. L’A-MCA distingue la santé intégrative (choix individuels de bien-être) et la médecine intégrative (prise en charge thérapeutique structurée), en soulignant l’importance de remettre l’humain au cœur du soin.
* Les pratiques complémentaires : méditation, hypnose, réflexologie, massages… elles sont plébiscitées, mais souvent mal connues. L’A-MCA propose des repères clairs : quelles pratiques sont validées ? Comment s’assurer de leur sérieux ? Dans quels cas les proposer aux aidants ? L’enjeu : rendre cette offre lisible, encadrée et adaptée.
La discussion se poursuit avec deux expertes de l'A-MCA, Chantal Zedet Saunders et Élisabeth Breton. Ensemble, elles réagissent aux constats posés en conférence et partagent leurs expériences de terrain. Elles abordent notamment :
* Le bien-être physique et psychologique des aidants ;
* La prévention du stress par des outils simples et accessibles ;
* Les spécificités des pratiques complémentaires : apports, limites, conditions d’adaptation aux publics fragiles ;
* L’intérêt de regrouper les professionnels au sein d’un même lieu comme la Maison des aidants, pour mieux orienter, sécuriser et accompagner.
L’échange se termine sur des conseils pratiques : par quoi commencer ? Quelles questions poser à un praticien ? Comment s’orienter dans cette diversité d’approches ? Autant de pistes concrètes pour faire de cette maison un véritable lieu de soutien, de repères et de mieux-être pour celles et ceux qui prennent soin au quotidien.