Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.
Le recours à l’art-thérapie dans l’accompagnement des personnes, tout âge confondu, est aujourd’hui majoritairement accepté dans de nombreux secteurs. En quoi consiste cette pratique ?
« L’art-thérapie s’adresse à des personnes qui rencontrent des difficultés physiques, psychologiques ou mentales, en situation de handicap ou face à un problème existentiel, ou en évolution personnelle », explique le Dr Jean-Pierre KLEIN, psychiatre et père de l’art-thérapie en France. Elle participe également à des actions de prévention ou peut s’intégrer dans un projet sociétal ou pédagogique. Avec l’art-thérapie, une personne chargée de tourments se voit proposer de participer à une création artistique. Souvent, cette dernière va être chargée de ce qui la préoccupe. « Le travail sur cette expression menée jusqu’à la création, va subtilement l’aider à résoudre ce qui l’envahit », précise le Dr KLEIN.
Tous les médias sont possibles : arts plastiques (peinture, collage, modelage, photo, mandala, vidéo) ; voix et musicothérapie ; dramathérapie, marionnettes, clown, gestualité non verbale ; atelier d’écriture, conte ; danse-thérapie et mouvement, etc. Les art-thérapies se pratiquent en individuel et en petits groupes. Les séances sont animées par des art-thérapeutes diplômés ayant une expérience conséquente de l’art et de l’accompagnement relationnel.
L’art-thérapie est une alternative à une psychothérapie qui peut s’avérer impossible. Elle permet de dépasser les problématiques rencontrées par chacun face à un autre (limite intellectuelle, douleur, secrets de famille, pathologies lourdes). « Parfois, les personnes sont en souffrance si forte qu’il n’est pas question de les réveiller en parlant », souligne le Pr KLEIN. L’art-thérapie propose une expression artistique sans prendre comme sujet ce qui cause le tourment. Mais ce dernier est tellement présent qu’il ne peut qu’imprégner leur production. « C’est ainsi une manière de le dépasser, indique le Pr KLEIN. La création et l’accompagnement des productions vont être des moyens détournés de travailler sur soi. » Pour l’art-thérapeute, comprendre la problématique ne signifie pas forcément en faire une interprétation explicite à la personne, mais de l’accompagnement dans sa reconstruction.
La profession d’art-thérapeute lie le relationnel et l’artistique. « Les praticiens doivent connaître l’art qu’ils proposent, de telle sorte que ce soit dans la matière même de la création que l’accompagnement se déroule, souligne le Dr KLEIN. Ils doivent ajouter à leurs qualités d’empathie une compréhension du psychisme humain, y compris le leur à travers une approche thérapeutique personnelle. Ils doivent de plus exposer régulièrement leurs suivis en supervisions individuelles ou en petits groupes. »
Les professionnels exerçant ce métier viennent de secteurs très divers : artistique, socio-éducatif, soin au sens large, enseignement. Ils sont souvent engagés eux-mêmes dans un art ou souhaitent le développer au service de personnes présentant des difficultés ou des handicaps de tous ordres.
« Le cheminement se fait en maniant, en jouant, en modelant de la matière, en la transformant et en trouvant des solutions aux difficultés rencontrées dans la création qui renvoient indirectement aux difficultés de la personne, rapporte le Pr KLEIN. Il s’agit moins de l’éclaircissement du passé que d’un appui sur le potentiel créateur de la personne, afin que l’évolution des productions la remette en mouvement alors qu’elle s’était figée sur ses malaises, son mal-être, ses violences, ses deuils, ses failles, ses échecs et leur répétition, qu’elle décentre dans une réalisation artistique. »
Source : Le Pr Jean-Pierre Klein, L’art-thérapie, c’est quoi exactement ? dans Les 20 grandes questions pour comprendre, Les art-thérapies, Sous la direction de Véronique Suissa, Serge Guérin, Dr Philippe Denormandie, Ed. Michalon.