Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.

Le vendredi 26 septembre 2025, Véronique SUISSA intervient pour la Ligue contre le cancer dans le cadre d'un évènement intitulé : "médecines complémentaires: que peut-on en penser"? Organisé sous forme d'une conférence suivie d'une table ronde, cet évènement a pour but de sensibiliser les patients comme les professionnels et de favoriser un échange collectif sur la place des pratiques complémentaires dans le champ de l’oncologie.
Face à l’essor des médecines complémentaires en cancérologie, une clarification s’impose : que recouvre réellement ce terme ? Quels en sont les bénéfices, les limites, les risques ? Quels professionnels interviennent ? Et surtout : comment mieux accompagner les patients dans leurs choix et leurs usages ? Autant de questions au cœur de cette rencontre co-construite, avec la Ligue contre le cancer, pour informer, structurer et illustrer le sujet avec rigueur. Elles seront explorées à travers les regards croisés de Véronique Suissa, directrice et co-fondatrice de l’A-MCA, accompagnées de deux expertes de l'association, Chantal Zedet Saunders, psychologue spécialisée en oncologie, formée à l’hypnose et aux pratiques psychocorporelles, et Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et pionnière de la profession.
En première partie de cette matinée, Véronique Suissa intervient lors d’une conférence de 45 minutes destinée à poser des repères structurants. Les pratiques complémentaires (méditation, hypnose, homéopathie, yoga...) sont définies, replacées dans leur diversité et leur niveau d’assise (scientifique, réglementaire, institutionnelle…). L’intervention permet aussi de déconstruire certaines idées reçues tout en mettant en lumière les réalités de terrain : usages par les patients, profils des praticiens, pratiques les plus fréquentes, et points de vigilance essentiels pour prévenir les risques ou dérives. Une séquence conçue pour donner à chacun un socle de compréhension solide et nuancé. L'occasion aussi de distinguer les compétences des praticiens : "Certaines pratiques comme l'acupuncture ou l'homéopathie sont réservées à des médecins ou à certains professionnels de santé tandis que d'autres, tels que la réflexologie ou le yoga peuvent dispensées par des praticiens non soignants. Il importe d'apporter des points de repères structurants" explique Véronique SUISSA.
La conférence est suivie d’une table ronde de 45 minutes modérée par Véronique Suissa et réunissant deux intervenantes expertes de l'A-MCA. Objectif : illustrer de façon concrète l'utilisation et l'apport des pratiques complémentaires à partir de leurs expériences professionnelles en oncologie.
* Chantal Zedet Saunders, psychologue en oncologie et chargée d’enseignement universitaire, aborde les pratiques psychocorporelles qu’elle mobilise dans sa pratique, comme l’hypnose, la sophrologie ou la méditation.
* Elisabeth Breton, réflexologue, autrice et fondatrice du premier RNCP en réflexologie en France, apporte son éclairage sur les pratiques manuelles, notamment la réflexologie, mais aussi les massages ou l’ostéopathie.
Ces regards croisés sont une façon d’illustrer plus concrètement les bénéfices perçus sur le terrain, mais aussi les conditions d’un accompagnement de qualité, encadré et éthique. "On évoquera des pratiques plurielles en s'attachant à distiguer leur niveaux d'assise, la pluralité des praticiens et le sens de leur intégration dans les soins de support" indique Véronique Suissa, avant d'ajouter. "Les disciplines telles que la méditation, l'acupuncture, l'homéopathie ou encore l'ostéopathie ne sont pas que des mots déconectés les uns des autres, :il y a derière, une démarche plus globale qui s'inscrit dans le champ de la santé intégrative que nous développerons lors de cette conférence".
Pour conclure cet échange organisé avec la Ligue contre le cancer, une session de questions-réponses offrira aux participants l’opportunité de s’exprimer, de réagir et d’approfondir les points abordés tout au long des interventions. Ce temps d’échange s’inscrit pleinement dans la mission de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) : ouvrir un dialogue constructif et accessible à tous, dans un esprit d’écoute, de prévention et de transmission.