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Fiches pratiques
Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 
Fiche pratique
Pratique acceptée

Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 

Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.

Pratiques détenant un cadre et largement intégrées :
• La formation est reconnue
• Il n'y a pas de risques spécifiques
• Il n'y a pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

Fiche pratique

Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

Fiche pratique
Pratique recommandée

Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

Fiche pratique
Pratique rejetée

Comment définir les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) ? 

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

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Temps de lecture :
Lieu :
Publié le :
12/5/23
Catégorie :

Les pratiques complémentaires et alternatives peuvent se définir comme un ensemble de pratiques non conventionnelles - plus ou moins éloignées de la médecine officielle - de nature très diverse. Elles rassemblent indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.

Certaines d’entre-elles sont légalisées et/ou détiennent des normes de formation. Elles sont généralement intégrées dans les centres de soins ou dans les associations de patients (ex. art-thérapies, sophrologie…)  

D’autres méthodes, plus éloignées de notre médecine (ex. médecines traditionnelles, énergétiques…) ne détiennent aucun cadre, sans pour autant être dangereuses. Elles ne sont généralement pas intégrées dans les établissements de santé sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs).  

Enfin, certaines pratiques sont clairement exclues des hôpitaux et dénoncées par les autorités et la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) parce qu’elles présentent des risques ou des dérives (régimes miracles, méthode Hamer...) .  

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