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Fiches pratiques
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Fiche pratique
Pratique acceptée

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

Fiche pratique

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Sabrina DUMOULIN : « Il faut travailler à plus de clarté dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives »

Sabrina DUMOULIN

Diplômée d’Etat en danse contemporaine, dirigeante du studio Gym et yoga (Paris 17e), bénévole au sein de l’A-MCA, elle a rejoint son conseil d’administration en tant que trésorière. Un engagement qui confirme sa quête perpétuelle autour d’une approche bien-être.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
25/5/23
Catégorie :
Regards de praticiens

Pourquoi avoir rejoint l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et être devenue sa trésorière ?

D’un point de vue professionnel, je suis professeur de danse contemporaine diplômée d’Etat et je me suis formée à la technique Gym et Yoga, que je propose depuis une dizaine d’années dans mon studio. A titre personnel, j’ai recours depuis de nombreuses années aux pratiques complémentaires : ostéopathie ou encore homéopathie. J’ai toujours été ouverte aux pratiques complémentaires et de prévention notamment parce qu’en raison de mon métier, j’ai un rapport de prévention au corps et je suis à la recherche d’un mieux-être qu’elles peuvent, de mon point de vue, m’apporter. Je pense que face au nombre varié de pratiques existantes, tout le monde peut trouver celles qui lui conviennent pour aller mieux, dans son corps, dans sa tête et dans sa vie. Le travail effectué par l’A-MCA est fondamental pour plus de clarté dans ce domaine et ainsi faire le tri entre les bons et les mauvais praticiens, notamment pour aider les personnes à s’orienter. Cet engagement a donc du sens pour moi, pour le bien-être des gens et pour mettre en avant l’importance de la prévention.  

Au-delà de cet engagement, vous mettez en place des ateliers pour vos adhérents au sein de Gym et Yoga. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lorsque j’ai repris le centre Gym et Yoga, il y a dix ans, je ne concevais pas de simplement « donner un cours ». Je voulais créer du lien avec les personnes. Avec mon équipe, nous avons beaucoup travaillé sur le relationnel notamment en proposant des actions de prévention aux adhérents. Cette volonté s’est particulièrement concrétisée au moment de la crise sanitaire. Le confinement a généré de l’isolement, de l’angoisse et la disparition de tout lien social. Nous avons donc proposé des ateliers gratuits en visioconférences pour ma clientèle, en partie composée de séniors : auto-massage, sophrologie, méditation pleine conscience, aromathérapie, réflexologie, hypnose. Cette année, nous avons souhaité renouveler la démarche mais de façon plus structurée. J’ai pris conseil auprès de l’A-MCA pour identifier « les bonnes pratiques » mais surtout les « bons praticiens ». L’enjeu était de proposer un format innovant alternant sensibilisation pédagogique et exercices pratiques. L’A-MCA a ainsi pu me recommander la mise en place de certaines pratiques comme l’hypnose, l’aromathérapie, l’homéopathie, la réflexologie ou encore la méditation pleine conscience. Elle m’a également recommandé des praticiens hautement qualifiés comme le Pr Antoine BIOY, le Dr Juliette HAZART, le Dr Antoine DEMONCEAU ou encore Élisabeth BRETON.   

J’ai décidé de poursuivre cet engagement, en ouvrant gracieusement les portes de mon studio pour l’organisation d’ateliers intergénérationnels, dans le cadre d’un partenariat entre l’OCIRP [Union d'organismes de prévoyance à gestion paritaire] et l’A-MCA. Cette action organisée par l’A-MCA et soutenue par OCIRP permet de sensibiliser également les jeunes, demandeurs de mieux-être, tout en permettant des moments de partage entre générations.  

Pensez-vous que d’autres synergies sont à concrétiser entre votre studio et l’A-MCA ?

Tout à fait. Je pense que mon intégration au sein du conseil d’administration de l’A-MCA facilite la possibilité de telles synergies car, de l’intérieur, je comprends de façon plus fine le sujet des MCA. Cela me permet de faire des liens et de réfléchir à la manière dont ma seconde casquette de dirigeante de Gym et Yoga peut aider de près ou de loin cette association.  

Nous évoquons actuellement plusieurs pistes. L’enjeu est de réfléchir à un modèle qui puisse s’adapter à tous, mon Studio étant une société tandis que l’A-MCA est une association loi 1901. Si les modèles structurels sont différents, les objectifs sont très proches. Nous avons ainsi en tête de proposer des week-ends « bien-être » composés d’ateliers à thématiques autour de la prévention (par exemple, bien manger, bien bouger, prévention du stress, gestion des émotions, etc.) en mobilisant certaines pratiques pouvant traiter de ces différents sujets. Les journées seront accessibles en présentiel dans le studio Gym et Yoga mais aussi en distanciel pour permettre aux personnes éloignées de la prévention d’y accéder. Nous veillerons à les rendre accessibles au plus grand nombre afin de répondre à la fois aux valeurs associatives de l’A-MCA et à la volonté de Gym et Yoga de s’engager dans ce sujet d’intérêt général. Ces ateliers auront lieu un weekend par mois, le samedi et le dimanche après-midi. Ils s’inscrivent finalement dans la continuité des actions précédentes, celles que j’ai menées seule, puis celles co-portées avec l’A-MCA. Ils permettent d’aller encore plus loin dans la démarche de prévention et de façon vertueuse. Ils représentent l’aboutissement de tout ce que j’ai mis en place ces dernières années, mais de manière plus structurée et régulière, ce qui permet aux personnes de s’engager et de bénéficier d’un suivi en matière de prévention.

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