Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.
Pour répondre aux enjeux de santé durable au cœur des organisations et à la nécessité de soutenir la formation continue des praticiens, un espace professionnel a été fondé en partenariat avec l'AMCA. Ce nouveau partenaire de l’A-MCA, a vocation à accompagner les organisations soucieuses de la qualité de vie de leurs salariés et/ou usagers et à renforcer l’expertise des praticiens dans le domaine des fragilités humaines.
Pour répondre à la demande de ses nombreux partenaires, l’A-MCA créer un partenaire, ciblant les usagers et salariés au sein des organisations (entreprises, centres de soins, Ehpad) qui souhaitent s’engager dans une démarche de qualité de vie et/ou des conditions de travail (QdV et/ou QVTC) et favorisant la montée en expertise des praticiens de MCA, notamment ceux qui interviennent auprès de publics en situation de fragilité.
Il propose de contribuer, sur le terrain, à la qualité de vie/qualité de vie au travail des usagers et salariés, en accompagnant les organisations dans leur stratégie de déploiement, et ce, de deux manières. Soit en apportant des conseils adaptés dans le cadre d’une approche autonome de l’entreprise. « Les organisations modélisent leur propre programme d’actions, et bénéficient, si elles le souhaitent, de conseils généraux », rapporte Alice WARUSFEL. Sous forme d’un accompagnement personnalisé. « Dans ce cadre, il accompagne les organisations dans la modélisation, la mise en place, le suivi et l’évaluation du programme », précise-t-elle.
Quel que soit le cas de figure (conseils adaptés ou accompagnement personnalisé), les actions de Qualité de vie des usagers et/ou des conditions de travail des salariés sont mises en œuvre au sein des structures selon un planning préétabli. Tout est piloté par ce même partenaire en lien avec la demande et les besoins spécifiques des organisations ; l’enjeu étant de déployer une démarche de qualité et adaptée aux réalités des usagers.
Pour ce faire, il propose un ensemble d’activités en QdV/QVCT : séances bien-être, ateliers pratiques, conférences à thématiques, séminaires, formations ciblées. Ces activités sont modélisées selon les publics d’usagers (ex. : citoyens en santé, personnes en fragilités, etc.) et de salariés (ex. : employés, cadres, etc.) et de la nature des structures (ex. : entreprises, Ehpad, associations, etc.).
Pour assurer la qualité des activités déployées, tous les intervenants (praticiens, formateurs, etc.) sont recrutés par le partenaire professionnel en lien avec l’A-MCA. « Nous appliquons une procédure de recrutement extrêmement stricte, pensée/modélisée et accompagnée par l’A-MCA, qui est son cœur de l’expertise dans le domaine », indique la responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT. Le processus de recrutement implique la remise d’un questionnaire particulièrement dense, l’analyse de l’ensemble des réponses à l’appui d’une grille d’évaluation, l’analyse des documents obligatoirement fournis (CV, lettre de motivation, lettre du parcours, diplômes, spécialisations, champs d’interventions, etc.), la mise en place d’un entretien individuel structuré, l’analyse de chaque réponse à partir d’une grille de critères, le passage en commission et enfin, la validation de sa mobilisation selon ses expertises.
L’activité du partenaire a pour objectif de sensibiliser et de former les praticiens en pratiques complémentaires. Les sensibilisations (1 à 2 jours) s’adressent uniquement aux praticiens dont les pratiques détiennent des normes en matière de réglementation et/ou de formation (réglementaire, universitaire). Les formations (3 à 9 jours) sont quant à elles réservées aux praticiens titulaires d'un diplôme reconnu (RNCP, DU, DE...). « Les praticiens peuvent désormais, avec ce partenaire, approfondir leurs connaissances et étendre leur sphère d’intervention en suivant une formation dédiée, en lien avec un public cible (personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants) ou une pathologie (cancer, fin de vie, etc.) », explique Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche qualité de vie et/ou des conditions de travail au sein de l’A-MCA. Avec cette offre de formation, les praticiens peuvent monter en compétences autour d’accompagnements spécifiques et ainsi, s’engager dans une démarche de professionnalisation adaptée et de qualité. Les sensibilisations et formations proposées suivent une logique de niveaux de complexité : découvrir (acquisition de fondamentaux), approfondir (l'expertise d'un domaine ou d'un public) et se perfectionner (aller plus loin dans l'apprentissage).
Un dispositif de formation a également été construit pour les futurs praticiens en cours de formation, « qui peuvent contacter le partenaire pour bénéficier de programmes spécifiques, s’intégrant dans leurs cursus, rapporte Alice WARUSFEL. Il s’agit de sensibiliser les étudiants aux fondamentaux au-delà de leur pratique (ex. : éthique en santé, psychopathologie, etc.) tout en suscitant auprès d’eux l’envie de se spécialiser une fois leur diplôme obtenu. » La durée de ces formations varie en fonction des objectifs visés par le partenaire (découverte, approfondissement, perfectionnement). Les formateurs sont tous des experts hautement qualifiés et mobilisés en fonction de leur expertise dans les différents domaines enseignés.