Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.
Un premier partenariat en Arménie
Un prochain voyage en Arménie officialisera un nouveau partenariat entre l’A-MCA et la Fondation arménienne pour le développement durable (FADD). L'objectif? Déployer des actions autour des pratiques complémentaires adaptées dans le but de promouvoir la prévention et le bien-être pour les citoyens Arméniens.
Mis en place sous l’impulsion des acteurs français de la gériatrie, ce partenariat est construit autour de trois axes interdépendants impliquant l'évaluation des besoins, la mise en oeuvre de projets pilotes et l'analyse de l'impact.
L’évaluation du terrain doit permettre d’identifier les secteurs, les acteurs et les bénéficiaires pour lesquels des pratiques complémentaires et de prévention seraient utiles. Dans cette optique, plusieurs actions possibles : analyse des dispositifs existants, sondages, auditions d'experts, rencontres avec les citoyens, etc.
La mise en oeuvre de projets pilote a ensuite pour but d'expérimenter des actions identifiées comme potentiellement porteuses et riches de sens. Là encore, les pistes sont nombreuses : sensibilisations aux citoyens comme aux professionnels, mise en place de journées à thématiques, élaboration de guides d'information, etc.
L'évaluation des actions a pour objectif de rendre compte de l'impact de chaque initiative mais aussi de comparer les effets "attendus et effectifs" pour affiner progressivement le modelage des actions au regard de leur utilité.