Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.
Médecine conventionnelle et médecines complémentaires trouvent, dans certaines structures, des points d’ancrage communs. Stress, alimentation, sommeil, activité physique : les principales composantes du mode de vie de chacun, influent, par ailleurs, notre bonne santé. Proposer une prise en charge globale, tout en agissant en prévention, permet d’offrir un suivi optimal au patient.
Mots clés : Prévention - Santé - Bien manger/bien bouger
La médecine des modes de vie repose sur quatre domaines : l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité, la gestion du stress et le sommeil. « Un certain nombre d’attitudes par rapport à ces quatre domaines ont une incidence sur les maladies, et peuvent accélérer ou réduire leur apparition, en fonction de l’équilibre trouvé », explique le Dr Alain DUCARDONNET, cardiologue, conseiller médical au sein du centre de santé Ellasanté. Créé par une fondation, Ellasanté fonctionne de manière autonome depuis six ans. Son originalité ? Offrir aux patients, à la fois une prise en charge en soins aigus, et des bilans de prévention, mettant en perspective les différentes composantes de leurs modes de vie, afin de trouver des points d’actions pour tendre vers une meilleure qualité de vie. « Il s’agit tout simplement d’associer médecines des modes de vie et médecines complémentaires validées (acupuncture, ostéopathie, hypnose, etc.) », indique le Dr DUCARDONNET. Et de poursuivre : « La médecine n’est qu’une partie de la santé. Nous le constatons avec l’espérance de vie qui augmente certes, mais l’espérance de vie en bonne santé est bien moindre. Nous sommes amenés à vivre une vingtaine d’années avec des problèmes de santé. Qu’en est-il alors de la qualité de vie ? »
« À EllaSanté, nous avons mis en pratique la notion de médecine globale, une médecine associant médecine conventionnelle, médecine des modes de vie et médecines complémentaires validées », complète le médecin. Pour prendre en charge de manière optimale les patients, l’équipe du centre estime qu’il est important, à côté de la médecine « classique » de quantifier, de mesurer, d’évaluer la situation dans laquelle ils se trouvent, concernant leurs modes de vie en particulier, pour proposer ensuite des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses adaptées. Au sein du centre de santé, le bilan comprend un autoquestionnaire et des examens classiques de la vision, l’audition, la masse grasse, l’épreuve à l’effort, etc.
« À côté des bilans, nous abordons toujours la question de la prévention, même avec les patients venant pour une consultation en soins aigus », indique le Dr DUCARDONNET. Concernant le parcours « bilan de prévention », les personnes sont orientées par leurs entreprises proposant ce type de prise en charge à leurs salariés, dans le cadre de leur politique de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
« L’originalité de la démarche est de proposer au patient un arsenal d’approches en vue d’adopter une meilleure alimentation ou pratiquer une activité physique », fait savoir le spécialiste. Cette prise en charge adaptée peut se mettre en place dans le cadre d’ateliers pouvant se dérouler en entreprise ou par visioconférences. À priori, cette approche est valable autant pour les personnes en bonne santé (en prévention primaire) que pour ceux déjà impactés par des maladies (prévention secondaire et tertiaire). « Le suivi est fondamental, poursuit le Dr Alain DUCARDONNET. Le ″après″ est vraiment très important. Car après avoir dit à une personne qu’elle est stressée, il faut lui proposer une prise en charge adaptée et concrète, puis l’accompagner afin qu’elle reste motivée. »
Bien entendu, cette démarche implique un parcours de formation des professionnels de santé à cette approche préventive. Elle tend à se développer avec la création de Diplômes universitaires « prévention » ou de formations dédiées.