Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.
Les trois fondateurs de l’A-MCA sortent en juillet leur nouvel opus, Les 20 grandes questions pour comprendre l’ostéopathie. Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA, en explique les contours.
D’abord, parce que l’ostéopathie est une pratique complémentaire issue d’une histoire pleine de remous est réglementée par la loi. Cela fait d’elle le « symbole » d’un encadrement possible des pratiques complémentaires. Pour autant, la loi sur l’ostéopathie a aussi des limites structurelles et ne règle ni les tensions entre professionnels, ni les difficultés des étudiants qui s’y forment, ni la lisibilité pour les usagers, ni la difficulté pour les ostéopathes « non médecins » de trouver leur place, ni bien d’autres situations de terrain.
L’ostéopathie a pour particularité d’être sous le contrôle du ministère de la Santé sans pour autant être considérée comme une « profession de santé ». Ce constat génère une première confusion auprès des citoyens parfois perdus pour situer le statut des ostéopathes. Ce d’autant plus que les ostéopathes sont pluriels : si la majorité des ostéopathes ne sont pas issus de professions de santé (« ostéopathes exclusifs »), bon nombre de professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc.) se forment également à l’ostéopathie (« ostéopathes non exclusifs »). La pratique est donc exercée par des praticiens issus d’écoles agréées ou non, formés avant ou après les règles édictées par la loi, et différemment selon s’ils sont issus d’une profession médicale, paramédicale ou non, etc. et souvent en désaccord selon leurs statuts professionnels. Conséquences : difficile de savoir si l’approche concerne le bien-être ou le thérapeutique, et sur les plaques, le grand nombre de signes pouvant y être inscrit, met à mal la lisibilité pour les usagers.
Tout à fait, et ce malgré l’existence d’une réglementation. Mais en réalité, l’ostéopathie s’articule autour d’une succession de lois, d’interdictions, d’autorisations, de décrets d’applications, de modifications réglementaires. Dans le domaine de la formation, il y a une logique d’agréments des écoles sans pour autant interdire les écoles non agréées, mais avec des « sigles » pour se repérer. Comment l’usager peut-il réellement se repérer ? Même raisonnement concernant les actes. Certains sont réservés aux médecins, d’autres peuvent être effectués par des ostéopathes exclusifs sous réserves de certificats médicaux. Comment la majorité des personnes intéressées peuvent-elles savoir la différence ? Et plus important encore : comment garantir la sécurité des patients ?
Notre objectif est principalement de mettre en lumière une pratique complémentaire qui se déploie de façon croissante et suscite un intérêt sociétal grandissant. L’ostéopathie s’intéresse à une variété de troubles (digestifs, sommeil, gestion du stress, etc.) comme elle s’adresse à tous les âges de la vie, notamment les plus âgées ou fragiles. L’ostéopathe doit naturellement adapter sa pratique, ses techniques et son approche en fonction de la personne qu’il a en face de lui, en lien avec des formations complémentaires dédiées au public cible. Du moins, c’est ce que l’AMCA défend. De fait, la question de la formation, initiale et continue, est également au centre des éléments de réponses apportés par ce livre.
Bien entendu, l’ouvrage n’a pas la prétention d’apporter toutes les réponses sur ce qu’est l’ostéopathie, et encore moins sur ce qu’elle devrait ou non devenir, ni à porter un jugement de valeur sur les combats professionnels des uns et des autres. L’objectif est avant tout d’éclairer sur la pratique (ses fondements, son histoire, ses applications, indications/contre-indications, formations…) et de pouvoir mieux la comprendre, en abordant par exemple ses points de convergences/divergences avec d’autres approches connexes (chiropraxie, kinésithérapie) ou en évoquant sa place « ambiguë » dans le champ de la santé.
Pour atteindre cet objectif, nous donnons la parole à une diversité d’acteurs : ostéopathes (exclusifs ou non exclusifs), médecins, soignants, professionnels de terrain œuvrant dans le secteur du bien-être, de la santé ou du grand-âge, chercheurs, usagers en santé ou en situation de fragilité.
Dans les pages de l’ouvrage, des ostéopathes témoignent de leurs pratiques professionnelles dans des secteurs variés, des citoyens confient leurs expériences plus ou moins vertueuses de l’ostéopathie, exprimant les bienfaits ressentis ou au contraire, leurs réserves ou leurs difficultés à se repérer. Enfin, des professionnels de terrain apportent leur vision de l’accompagnement et expliquent en quoi selon eux, l’ostéopathie peut s’inscrire ou non dans un parcours de soin, un lieu de vie ou encore en entreprise pour accompagner la qualité de vie au travail. Ce livre se veut « arc-en-ciel », fait de nuances, de convergences et de divergences, à l’image de la société afin de pouvoir prioritairement éclairer les lecteurs.