Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.
Les pratiques non médicamenteuses officielles font référence à un ensemble réduit de pratiques. Tout d’abord celles délimitées et validées par la Haute Autorité de santé (HAS) telles que le soutien psychologique, la diététique, la kinésithérapie. Puis celles qui ne sont pas validées mais largement recommandées par les autorités comme la socio-esthétique, la médiation en santé, l’intervention des bénévoles, l’activité physique, etc. Il s’agit donc de pratiques officielles pleinement intégrées au système de soins et dispensées par des professionnels dont la formation est généralement reconnue.
Les Médecines complémentaires et alternatives (MCA) font référence à un large spectre de pratiques, non clairement délimitées. Certaines ont pu montrer des effets dans certains contextes (ex. hypnose et douleur), d’autres sont insuffisamment éprouvées (ex. sophrologie) bien qu’elles soient proposées en milieu de soin. D’autres encore présentent des risques, exclues des milieux de soins et parfois même interdites (ex. méthode Hamer). Il s’agit donc de pratiques en partie intégrées au système de soins et dispensées par des praticiens dont la formation est reconnue ou non.