Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.
La prévention en santé commence dès le plus jeune âge. Pour les nourrissons et les jeunes enfants, ce sont les parents ou les proches aidants qui orientent les choix de soin, en lien avec le pédiatre, le médecin ou le pharmacien. De plus en plus de familles s’intéressent aux approches complémentaires pour soutenir le bien-être de leur enfant, en complément d’un suivi médical adapté.
Certaines pratiques douces peuvent être recommandées chez les tout-petits : massage bébé, portage, ostéopathie pédiatrique, réflexologie plantaire douce, homéopathie… Lorsqu’elles sont encadrées par des professionnels formés à la petite enfance, elles peuvent aider à soulager certains inconforts courants telles que les coliques et les poussées dentaires.
L’homéopathie, par exemple, peut être administrée sous forme de granules dissous dans l’eau (biberon, verre ou pipette) et répartis dans la journée, selon les conseils du médecin ou du pharmacien. Ces approches douces s’intègrent dans une vision globale du soin, attentive aux besoins de l’enfant comme à ceux de ses parents.