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Fiches pratiques
Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens
Fiche pratique
Pratique acceptée

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.

Pratiques détenant un cadre et largement intégrées :
• La formation est reconnue
• Il n'y a pas de risques spécifiques
• Il n'y a pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

Fiche pratique

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

Fiche pratique
Pratique recommandée

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

Fiche pratique
Pratique rejetée

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Sophrologie : quelles formations et certifications pour les praticiens

L’exercice du métier de sophrologue implique de suivre une formation adaptée. Depuis quelques années des niveaux de qualification garantissent les compétences des sophrologues. Le point.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
16/3/23
Catégorie :
Métiers

Comme l’explique l’ouvrage Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie, l’accès au métier de sophrologue est ouvert à tous, et non réservé aux seules professions médicales. Pourquoi ? Car sa pratique n’oblige pas de poser un diagnostic médical, ni de faire des prescriptions.

Pourquoi bien se former ?

Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.   

Une certification professionnelle

Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.  

D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).  

Norme AFNOR

Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.  

Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.   

Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie

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