Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.
Non, toutes les pratiques complémentaires ne sont pas validées scientifiquement. Par ailleurs, certaines pratiques complémentaires sont davantage étudiées que d'autres.
Les pratiques comme l’hypnose, la méditation de pleine conscience ou l’acupuncture ont fait l’objet de nombreuses études démontrant leur efficacité sur certains symptômes.
D’autres, comme la sophrologie, la réflexologie ou les art-thérapies, disposent de données plus limitées mais sont de plus en plus reconnues sur le plan institutionnel pour leurs bénéfices en termes de confort, de soutien émotionnel et social ou encore de qualité de vie.
À noter : la recherche est particulièrement coûteuse (jusqu'à des millions d'euros pour une seule étude) et explique en grande partie le manque de données robustes. Cependant, les approches qualitatives ou les es enquêtes de terrain se démultiplient et constituent des indicateurs précieux allant dans le sens d'effets positifs qui restent à confirmer avec des méthodologies plus complètes, solides et uniformes.