Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.
En tant que lieu d’expertise des pratiques complémentaires et de prévention et tout comme l’an dernier, l’A-MCA poursuit ses missions et actions qui ont pour but de soutenir les bonnes pratiques de santé tout en luttant contre les dérives. Parmi les travaux de l’année, le rapport élaboré collégialement par une pluralité d’experts de l’A-MCA vise à apporter à la connaissance des usagers, praticiens et institutions les repères indispensables à la qualité et la sécurité des pratiques et des usages.
Des grands principes pour un accompagnement sécurisé et de qualité.
En 2021, le premier rapport de l’A-MCA s’était effectivement donné pour mission de « Structurer les médécines complémentaires et alternatives », pour « asseoir les pratiques complémentaires adaptées et lutter contre les méthodes alternatives » (Ed. Fauve). Des recommandations et une charte éthique avaient ainsi été élaborés pour permettre aux praticiens, aux usagers et aux institutions de bénéficier de repères concernant à la fois les pratiques, les usages et la question des risques et dérives.
Pour aller plus loin dans cet objectif de structuration et de repérage, les travaux des experts ont porté cette année sur les critères de qualité et de sécurité des pratiques.
Élaboré à partir de questions posées aux différents experts du pôle réflexion de l’A-MCA, et catégorisé selon les différents types de population auxquels ce nouveau rapport s’adresse, plusieurs critères ont pu être listés. Ces derniers ont permis de structurer le rapport de manière à ériger trois référentiels : le référentiel praticiens bien-être, le référentiel usagers et enfin celui des organisations.
Le tout premier des trois, établit 28 grands principes selon plusieurs thématiques définies qui vont des fondamentaux de la formation à la démarche d’accompagnement. Ils balayent ainsi différents thèmes tels que les domaines d’intervention, les informations essentielles à transmettre aux usagers, les savoirs indispensables pour exercer, les exigences de terrain ou encore les fondements de l’accompagnement.
Le second référentiel, qui s’adresse aux usagers, établit 20 grands principes afin de structurer un parcours de repérage et d’accompagnement sécurisé. A commencer par les moyens de se renseigner en amont, de s’orienter efficacement, de dialoguer avec le praticien, de s’assurer du respect de ses droits et enfin d’être sensibilisé aux notions de risques et dérives.
Enfin, le dernier référentiel destiné, quant à lui, aux organisations, vise à soutenir les institutions dans la mise en œuvre des pratiques en leur sein et d’envisager interventions et collaboration avec les praticiens de médecines complémentaires adaptées. Ce sont 16 grands principes qui sont cette fois érigés afin de bien conceptualiser la démarche institutionnelle, recruter des praticiens qualifiés, structurer l’organisation et promouvoir l’accès à l’information.
Ces grands principes contribuent à renforcer le positionnement de l’A-MCA qui s’inscrit dans une démarche d’intérêt général, s’appuie sur des critères objectivables fondés sur les normes existantes (législation, formation), les travaux gouvernementaux (ministériels, Miviludes, etc.), les recherches scientifiques (Inserm, universités, etc.) et les recommandations sanitaires (Haute Autorité de Santé, ministère de la Santé, etc.) et vient constituer un point d’orgue dans ce travail de structuration pour la sécurité de tous.
Les référentiels issus des travaux de discussion, d’élaboration et de concertation viennent représenter des outils à la fois pratiques, complémentaires et pluridisciplinaires qui permettront d’assurer et d’homogénéiser la qualité/sécurité des pratiques complémentaires.