Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.
L’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées organise les rencontres de la prévention à l’Assemblée nationale, sous le haut patronage de Madame la Députée Annie VIDAL.
Après avoir organisé en 2019 le premier colloque sur les médecines complémentaires au ministère de la Santé, les fondateurs de l’A-MCA initient le 8 décembre prochain les premières rencontres de la prévention à l’Assemblée nationale. Déjà prévu en 2020, ce projet avait dû être décalé en raison de la crise sanitaire. Parrainée par Madame la Députée Annie VIDAL, cette rencontre, proposée en format hybride, est centrée sur le triptyque « Bien-grandir, bien-vivre, bien-vieillir ».
La prévention a été élevée au rang de priorité gouvernementale, jusque dans l’intitulé du nouveau ministère de la Santé et de la prévention. Les débats initiés autour des questions de santé, de culture
de la prévention et de complémentarité entre les soins ont pris une place encore plus importante depuis la crise de la covid. C’est dans ce cadre que l’A-MCA a souhaité porter les premières rencontres de la prévention. Dans un moment où les Français recherchent une meilleure qualité de vie, l’enjeu est de pouvoir réfléchir collectivement aux leviers permettant d’introduire une véritable culture de la prévention en santé, de pouvoir s’intéresser à la prévention de manière transverse en abordant différents contextes (écoles, entreprise, habitat) et différents publics (jeunes, adultes, personnes âgées).
Bien manger, bien bouger, s’imprégner de modes de vie sains : qu’est-ce que véritablement la prévention en santé ? En quoi les pratiques de prévention (sport, activité physique adaptée, diététique, relaxation, etc.) peuvent-elles contribuer au bien-être et à la santé durable ? Comment se saisir de la prévention à tous les âges de la vie ? De quelles façons introduire concrètement la prévention dans tous les contextes et dans toutes les situations ?
Ces questions fondamentales sont le point de départ de cette rencontre. Malgré l'intérêt des Français, la prévention n'est pas aisée à introduire dans la société, en atteste la multiplication de problématiques de santé potentiellement évitables avec une culture de la prévention : hausse des maladies chroniques, épuisement professionnel, obésité, chutes de personnes âgées à domicile, etc.
Par ailleurs, la prévention n'est pas toujours accessible à tous : les pratiques de prévention telles que la diététique, les activités sportives ou les pratiques pour le bien-être (ex. relaxation, sophrologie, réflexologie, etc.) sont coûteuses là où de nombreux Français ne parviennent pas forcément à bénéficier de soins médicaux essentiels.
De plus, l'essor de mouvements douteux (anti-médecine, anti-médicaments...) et charlatans en santé (pseudo-praticiens en tout genre ...) renforcent la confusion auprès des citoyens désireux de s'orienter de façon adaptée et sécurisée vers des pratiques en faveur de leur bien-être. À ce titre, les polémiques médiatiques à répétition autour des « plateformes bien-être » montrent combien il devient urgent de répondre à la demande d'un accès adapté et sécurisé aux pratiques de prévention et complémentaires.
Cette rencontre est pensée comme ambition, non seulement de santé publique, mais plus largement de la société dans son ensemble. De fait, les débats ont vocation à permettre des regards croisés d’acteurs impliqués (décideurs, médecins, acteurs mutualistes, dirigeants d’entreprises, directeurs d’établissements de santé, professionnels de terrain, etc.) dans une dynamique porteuse de sens au service de la population. Cette rencontre est l’occasion d’échanger avec des acteurs impliqués dans la prévention en santé mais également de rassembler à la fois la société civile, les acteurs de terrain et les décideurs dans une approche vertueuse ouverte au débat et au monde des idées.
Proposées dans un format « hybride », elle est ouverte à tous, en distanciel (citoyens, public informé, professionnels, patients, etc.) et réservées aux invités en présentiel (intervenants, experts, institutionnels, journalistes, etc.). Elles doivent ainsi permettre à tous ceux qui le souhaitent, de s’informer et de s’exprimer sur les évolutions et les innovations en matière de prévention.
Enfin, et pour accompagner cet évènement majeur, l’A-MCA lance un appel à signatures inédit qui se veut être un appel vertueux visant à rassembler la société dans son ensemble (habitants, patients, professionnels, élus, décideurs, etc.) en faveur d'un accès aux pratiques de prévention. Tout citoyen peut ainsi soutenir de façon symbolique, l’importance d’une culture de la prévention en signant cet appel.