Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.
Le 8 avril 2021, l’A-MCA a remis la synthèse de son rapport Asseoir les pratiques complémentaires adaptées et lutter contre les méthodes alternatives, au secrétaire d’Etat en charge des Retraites et de la santé au travail, Laurent PIETRASZEWSKI. Ce travail, qui pose les fondements de l’Agence, dresse un état des lieux sur la nécessaire structuration des médecines complémentaires et alternatives et propose des premiers éléments de réponses.
Dans son rapport 2021, Asseoir les pratiques complémentaires adaptées et lutter contre les méthodes alternatives, l’A-MCA structure son champ d’intervention en proposant à la fois une définition du concept de MCA et sa méthode pour l’évaluation des pratiques. Son objectif est de rassembler autour de valeurs communes, les praticiens formés, de préconiser des critères d’intégration des MCA en établissements de santé et d’identifier et définir les risques et dérives thérapeutiques de ces médecines.
Ce travail assoit les fondements de l’A-MCA, qui se fixe pour finalité de garantir la sécurité des personnes ayant recours à ces pratiques et de les rendre lisibles d’autant plus que les patients et les citoyens, en recherche de mieux-être, de compléments voire d’alternatives à la médecine curative allopathique, sont de plus en plus nombreux à y avoir recours. Or, en matière de MCA, la France reste dans une zone grise. Elle propose un système tolérant c’est-à-dire centré sur la médecine occidentale tout en acceptant certaines médecines non conventionnelles. Ainsi, si certaines MCA sont réglementées (acupuncture, chiropraxie, ostéopathie) et certaines formations reconnues par le ministère du Travail et inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) comme l’art-thérapie, l’hypnose ou encore la sophrologie, nombreuses sont celles qui ne sont pas encadrées d’un point de vue réglementaire et universitaire. Cette situation donne lieu à des pratiques hétérogènes - certains praticiens n’ayant pas les compétences requises pour exercer, et peut aussi conduire à des dérives thérapeutiques.
L’enjeu de ce rapport de l’A-MCA est donc d’apporter des premiers repères structurants aux citoyens, aux professionnels et aux institutions, et de guider vers des pratiques sûres, scientifiquement validées, tout en mettant en garde contre les pratiques obscures. C’est d’ailleurs tout l’enjeu de l’existence même de l’A-MCA, qui prévoit, au fil des ans et de ses travaux, d’apporter un éclairage toujours plus précis sur l’ensemble de ces questionnements.
Ce rapport élaboré par des professeurs en psychologie, en psychopathologie, représentants des usagers, députés, chercheurs et épidémiologistes, spécialistes en santé publique, médecins oncologues, neurologues, spécialistes de la douleur, etc. donne d’ailleurs lieu à une vingtaine de recommandations autour de la définition du concept pour sa meilleure compréhension, l’évaluation des pratiques, la formation des praticiens, l’intégration ou l’exclusion des MCA et les modes d’actions pour lutter contre les risques et dérives thérapeutiques.
Il a été publié sous forme d’ouvrage aux Editons Fauves et a fait l’objet d’une synthèse grand public afin de permettre la diffusion d’informations auprès des citoyens.