Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Cette proposition de résolution inédite en France est portée par les députés Agnès Firmin Le Bodo, Lisa Magnier, Luc Lamirault, Olivier Falorni, Jeannine Dubié, François-Michel Lambert, Laurence Vanceunebrock, Marina Sage. Ce texte invite le Gouvernement à créer une agence gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.