Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.
Véronique SUISSA, Serge GUÉRIN et Philippe DENORMANDIE, Fondateurs de l’A-MCA signent une collection d’ouvrages sur les MCA « regards croisés sur la médecine de demain » chez Michalon
Après le succès de leur premier ouvrage collectif intitulé « Médecines Complémentaires : pour ou contre »? (2019), les fondateurs de l’A-MCA signent une collection dans laquelle ils s’intéressent aux différentes MCA à travers 20 grandes questions. Les 10 premières questions seront focalisées sur les fondements de la pratique et les 10 suivantes feront l’objets de débats et de regards croisés argumentés entre différents contributeurs.
Tel que l'indiquent les fondateurs de l'A-MCA, « le but de la présente collection est avant tout d’informer et de susciter le débat autour de la santé intégrative. » À travers cette collection, il s’agit pour les directeurs de l'ouvrage de questionner les usages et les pratiques des citoyens en matière de médecines complémentaires. « Il s'agit également de diffuser une information robuste et de la rendre accessible au grand public » précise Véronique SUISSA. C'est la raison pour laquelle les ouvrages ont été pensé sous un même format, avec 20 grandes questions permettant de se focaliser sur les fondamentaux (définition, histoire...), d'apporter des repères pratiques (séances types, formation des praticiens...) tout en permettant le débat d'idées entre des contributeurs variés (médecins, chercheurs, usagers, praticiens, etc.) qu'ils soient pour ou contre la pratique.
Mais quelles pratiques feront l'objet d'un ouvrages? «Nous nous intéressons à des pratiques diversifiées, et en particulier celles qui sont plébiscitées par les Français et qui font souvent l'objet de nombreuses représentations telles que l'homéopathie, la sophrologie, les art-thérapies, la réflexologie ou encore l'ostéopathie. Rien n'est fermé. Le choix d'un ouvrage se fait aussi en lien avec les débats de société. Par exemple, lancer la collection avec l'homéopathie était une évidence car cette pratique a impulsé le débat plus large sur ces pratiques.
Utilisées par près d'un Français sur deux, les MCA suscitent un véritable engouement et un débat sociétal. Pour autant, ces approches ne sont pas équivalentes. Si certaines sont légalisées, professionnalisées, ou encore déployées dans notre système de soins, d’autres, parfois douteuses, peuvent comporter des risques et des dérives. Cette collection s'inscrit dans une démarche citoyenne avec pour but de « diffuser de la connaissance, de permettre la nuance, d’apporter du recul et une analyse critique envers ces pratiques. »
Pour les Directeurs de l'ouvrage, apporter un éclairage au lecteur c'est être à même de lui fournir une information robuste, « à travers une approche non dogmatique dans laquelle une multiplicité d’experts et de citoyens confrontent leurs idées, leur approche et leur regard.» Cette démarche implique d'accepter que la pensée développée par certains contributeurs ne corresponde pas nécessairement à celle des Directeurs de l'ouvrage. « Les pratiques sont plurielles, ce mouvement est dynamique et riche de représentations. De fait, donner la parole à une variété d'acteurs implique nécessairement d'être confronté à des points de vues différents, voire opposés.» indique Véronique SUISSA. Avant d'illustrer par un exemple concret « dans le premier ouvrage sur l'homéopathie, deux anciens Ministres, Xavier BERTRAND et Jean GATEL apportent leurs points de vues argumentés sur le déremboursement de l'homéopathie. Il ne s'agit pas de dire que l'un a raison et l'autre tord mais bien de s'enrichir des arguments de chacun pour permettre au citoyen de se faire son propre avis. »
Si les directeurs de l'ouvrage ouvrent volontairement au dissensus, la démarche reste évidemment encadrée et modérée par leur soins. « Si un contributeur apporte une information non fondée, nous demandons lors de la relecture des modifications. » précise Véronique SUISSA. « Accepter le désaccord ne veut pas dire accepter de diffuser des informations insuffisamment solides ou vérifiées. »
« Par ailleurs, lorsqu'une information relève du "point de vue" et qu'elle est bien présentée comme telle, si nous ne sommes pas d'accord, nous prenons la liberté de le préciser en note de bas de page.» Avant d'apporter un exemple concret « Si un praticien exprime l'efficacité perçue de sa pratique et qu'il s'appuie sur sa propre expérience et une démarche empirique pour l'affirmer mais qu'aucune preuve scientifique n'existe, nous le précisons. » Autrement dit,« l'enjeu de la pluralité de regards ne doit pas se faire au détriment de l'objectif initial, celui d'apporter une information solide.»
Enfin, tel que le soulève l'avant-propos de l'ouvrage, chaque contributeur est responsable de ses propos et n'engage en aucune façon les directeurs de l'ouvrage. Les initiatives qu’ils peuvent mener en dehors du contexte de l’ouvrage n’impliquent en rien la direction de la collection. En revanche, les Directeurs de l'ouvrage expriment clairement leur refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou qui présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires.
Autrement dit, le propos de cette collection n’est pas de prendre position sur l’efficacité d’une pratique ou de juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat tout en apportant des repères structurants au public.