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Fiches pratiques
L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous
Fiche pratique
Pratique acceptée

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

Fiche pratique

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

Fiche pratique
Pratique recommandée

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

Fiche pratique
Pratique rejetée

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

L'acupuncture : une pratique encadrée à destination de tous

Branche de la médecine traditionnelle chinoise fondée sur la théorie du yin et du yang, l’acupuncture s’adresse à tous. En France, sa pratique est encadrée et ne peut être exercée uniquement par des professionnels de santé.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
21/1/22
Catégorie :
Les pratiques en MCA

« L’acupuncture est l’une des six dimensions de la médecine traditionnelle chinoise », lance en guise d’introduction Christine CHALUT-NATAL MORIN, sage-femme, titulaire d’un Diplôme inter universitaire (DIU) d’acupuncture et d’un DIU d’hypnose médicale et clinique. Plusieurs branches composent cette médecine traditionnelle : la pharmacopée, le massage, le qi gong, la diététique, la moxibustion, et l’acupuncture. « La médecine traditionnelle chinoise est la plus ancienne médecine encore pratiquée à ce jour, ajoute-t-elle. Issue du Taoïsme et modulée par le Bouddhisme, elle envisage les symptômes et les traitements de manière différente que la médecine conventionnelle. »

Une réponse à des maux variés

Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.

Un complément à la médecine conventionnelle

En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.

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