Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.
Branche de la médecine traditionnelle chinoise fondée sur la théorie du yin et du yang, l’acupuncture s’adresse à tous. En France, sa pratique est encadrée et ne peut être exercée uniquement par des professionnels de santé.
« L’acupuncture est l’une des six dimensions de la médecine traditionnelle chinoise », lance en guise d’introduction Christine CHALUT-NATAL MORIN, sage-femme, titulaire d’un Diplôme inter universitaire (DIU) d’acupuncture et d’un DIU d’hypnose médicale et clinique. Plusieurs branches composent cette médecine traditionnelle : la pharmacopée, le massage, le qi gong, la diététique, la moxibustion, et l’acupuncture. « La médecine traditionnelle chinoise est la plus ancienne médecine encore pratiquée à ce jour, ajoute-t-elle. Issue du Taoïsme et modulée par le Bouddhisme, elle envisage les symptômes et les traitements de manière différente que la médecine conventionnelle. »
Le champ de pratique de l’acupuncture est étendu. Elle s’avère pertinente pour accompagner autant les troubles somatiques que psychiques : l’accompagnement à la grossesse ; les douleurs aigues ou chroniques telles que l’endométriose, les lombalgies, les maux de tête ; les troubles ORL, digestifs etc. ; les insomnies, l’anxiété, le stress, la dépression ou encore le deuil. « L’acupuncture vise également à soulager les effets secondaires de certains traitements, par exemple, dans le cadre de l’aide médicale à la procréation ou lors des chimiothérapies pour les nausées ou les douleurs neuropathiques », précise-t-elle. Il n’existe pas de contre-indication, si ce n’est l’obtention de l’accord du patient, notamment lorsqu’il s’agit des enfants. Cette discipline est complexe, « il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles mais bien de s’adapter à chaque patient, rapporte Christine CHALUT-NATAL MORIN. Nous sommes plutôt dans une dynamique “à un patient correspond un traitement” et non pas “à une maladie correspond un traitement”. Le suivi repose sur un accompagnement personnalisé, sur-mesure. » La formation universitaire s’avère d’autant plus indispensable qu’elle permet aux praticiens, professionnels de santé, d’apprendre cette adaptation nécessaire en fonction de l’âge et de la problématique du patient. Par ailleurs, le professionnel se doit d’exercer dans son champ de compétences.
En France, l’acupuncture est une pratique encadrée. Seuls les médecins et les sage-femmes, titulaires d’un DU ou DIU, peuvent l’exercer. « Il est important pour les patients de s’orienter vers des professionnels de santé, soutient Christine CHALUT-NATAL MORIN. Il faut rappeler que l’acupuncture est, à l’origine, une médecine préventive, devant ainsi être envisagée comme un accompagnement, un complément à l’approche conventionnelle. En consultant un praticien non professionnel de santé, ce dernier risque de ne pas être à même d’identifier les signes nécessitant un suivi médical comme de l’hypertension ou un problème cardiaque. La formation médicale permet de rester en alerte. » Par conséquent, l’intérêt reste la complémentarité des approches, avec la mise en place d’un travail en coordination. Vérifier la formation médicale et le diplôme du professionnel est donc un préalable indispensable pour les personnes.