Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE
Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’auriculothérapie est un acte d’acupuncture dont la pratique est réglementée par la loi. Elle consiste en la stimulation de points précis du pavillon de l’oreille. Ces points sont stimulés en utilisant le plus souvent des aiguilles semi-permanentes (de 1,5 mm restant en place de plusieurs heures à plusieurs jours). Une stimulation sans aiguille par le froid est parfois utilisée (cryothérapie). L’auriculothérapie est différente de l’acupuncture auriculaire, elle ne repose pas sur les mêmes principes de base neurophysiologiques.
En France, seules les professions médicales (médecins, sages-femmes et dentistes) peuvent pratiquer l’auriculothérapie pour les actes en lien avec leur domaine de compétence.
Les personnes n’appartenant pas au corps médical peuvent être poursuivies pour exercice illégal de la médecine.
L'enseignement est dispensé dans les facultés de médecine sous la forme de diplôme interuniversitaire (DIU). Cependant, il existe également des diplômes d’organismes privés ou associatifs, accessibles parfois à un public plus large que les professions médicales.
Les effets indésirables sont transitoires et bénins : sensation parfois douloureuse et passagère à l’insertion de l’aiguille, léger saignement, exacerbation des symptômes pendant 24 à 48h après la séance.
L’aiguille semi-permanente ne doit pas être remise en place ou déplacée (risques infectieux).
Les effets indésirables graves sont limités dans le cadre d’un exercice pratiqué par des membres de professions médicales formés avec utilisation d’aiguilles stériles à usage unique et en complément du traitement médical conventionnel.
Les consultations d’auriculothérapie peuvent être prises en charge par l’assurance maladie sur la base d’une consultation médicale. Soin complémentaire à la médecine, elle ne doit en aucun cas être considérée comme un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves telles que le cancer. Lire le référentiel de l’Afsos. En cancérologie, dans certains établissements de santé, des consultations d’auriculothérapie peuvent être proposées dans le cadre de soins oncologiques de support. Une expertise scientifique de l’Inserm concernant l’efficacité de la pratique de l’auriculothérapie a été réalisée en 2013.