Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »
Le yoga est une pratique mêlant philosophie, postures et exercices de respiration, ayant pour finalité la recherche d’un bien-être physique et mental. Chacun peut le pratiquer dans les limites de ses propres capacités.
Le terme yoga signifie « union » en sanskrit. Cette pratique ancestrale originaire d’Inde prône l’union du corps et de l’esprit. « Le traité de yoga de Patanjali datant du 6e siècle avant JC, synthétise la connaissance autour du yoga », rapporte Patrice DELFOUR, diplômé de l’école de yoga Yogakshemam, où il est également enseignant. Le yoga est avant tout une philosophie sur le lien qui attache chaque personne au monde qu’elle perçoit à travers ses sens et ses émotions. « Il s’agit également de tenir compte d’une autre philosophie sur un autre type de lien au monde, perçu cette fois-ci par le cœur, précise-t-il. La notion est alors plus harmonieuse dans notre relation à ce qui nous entoure. » Ainsi, la première pratique du yoga consiste à s’attacher à trouver comment, au quotidien, mettre en pratique cette philosophie, pour comprendre ce qui nous relie au monde, ce qui nous perturbe et la façon de créer un nouveau lien à cet environnement et ce, sereinement.
Cette approche philosophique ne constitue que l’un des aspects du yoga qui s’associe à la pratique posturale, à la respiration et la méditation. L’approche posturale offre un triple effet à la personne. Tout d’abord sur le plan physique et physiologique, les postures ont vocation à travailler sur les systèmes locomoteur, circulatoire, respiratoire, hormonal, nerveux, digestif, etc. Puis, sur le plan mental, pour plus de concentration, de sérénité et une meilleure gestion des émotions. Enfin, sur le plan philosophique, pour accompagner toutes les démarches et approches, quelles que soient les convictions de chacun.
Dans son approche globale, le yoga s’adresse à tous. « Les personnes qui n’ont pas nécessairement de connaissances sur l’approche philosophique du yoga ou sur la culture asiatique, peuvent bien entendu apprendre, car les questionnements soulevés peuvent tous nous concerner », indique Patrice DELFOUR. Concernant l’approche posturale en particulier, « il n’existe pas, en soi, de contre-indication, prévient-il. Le yoga est une pratique adaptative et le maître-mot, pour le professeur, est de s’ajuster aux élèves. » Et de poursuivre : « Il n’est pas médecin, en revanche, il peut proposer des séances tenant compte de l’état de santé des personnes et adapter les postures à leurs conditions physiques. » Le yoga n'a pas pour finalité la recherche de la performance, encore moins les uns par rapport aux autres. « L’objectif est de mettre de la volonté pour que la posture ait un effet sur soi en fonction de nos capacités », précise Patrice DELFOUR.
Au niveau national, il n’existe pas de reconnaissance concernant l’enseignement du yoga. « Cette reconnaissance est difficile à obtenir, regrette-t-il. Nous travaillons avec plusieurs fédérations et écoles, pour la mettre en place et ainsi, être inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais l’inscription n’est possible que pour les pratiques professionnalisantes. Or, il est rare de trouver des professeurs qui ne vivent que de leur yoga ». En Suisse par exemple, il existe un statut de yoga-thérapeute dont les séances peuvent être prises en compte par leur sécurité sociale.
Néanmoins, l’Union européenne de yoga (UEY) a défini un programme de 500 heures de cours sur quatre ans, comprenant des enseignements obligatoires en termes d’anatomie, de philosophie, d’études de textes, de structuration d’une séance. « Pour trouver un bon professeur, il peut être utile de se renseigner sur l’école où il a été formé et pendant combien de temps, conseille Patrice DELFOUR. Car lorsque je découvre des formations de quelques semaines ou de quelques mois, je m’interroge sur la professionnalisation des enseignants. »