Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE
Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La méditation pleine présence (ou pleine conscience, mindfulness) est un état de conscience spécifique connu dans les différents courants de méditation bouddhiste.
Il s’agit, ici, d’une pratique laïque de l’attention, un entraînement attentionnel consistant à s’efforcer d’être pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant. Autrement dit, ce que l’on perçoit autour de soi à travers les cinq sens, mais également à ce qui se passe en soi (pensées, émotions et sensations corporelles). Elle se pratique en groupe et/ou individuellement.
Il existe des diplômes universitaires plutôt dédiés aux professionnels du soin et de la santé. Des programmes de formations privés existent sans être reconnus sur un plan réglementaire. Utilisée dans un contexte de soins, la méditation est dispensée (encadrée, à défaut) par des professionnels de santé spécialisés dans leur domaine et formés à cette approche, dans les limites de leur champ d’expertise. Tous les professionnels de santé peuvent s’y former, mais à des fins psychothérapiques, elle sera délivrée par des psychiatres ou des psychologues.
Enfin, les praticiens, non professionnels du soin, interviennent plutôt dans le champ du bien-être.
La méditation n’est pas indiquée pour soigner d’emblée les états pathologiques aigus : dépressions en phase aiguë, troubles bipolaires non stabilisés, troubles psychotiques.
Délivrée dans des conditions inadéquates, elle peut engendrer la survenue de difficultés émotionnelles majeures, chez des personnes présentant une vulnérabilité psychologique (attaques de panique, une décompensation de l’humeur).
Il est donc important de faire appel à un professionnel du soin formé à la méditation lorsque l’usager se trouve en position de fragilité (émotionnelle, psychologique, etc.).
La méditation est le plus souvent dispensée en groupes, selon des programmes se déroulant sur deux mois, MBSR et MBCT étant les plus connus et les mieux validés. Toutefois, ce format n’est pas le seul envisageable. Des interventions plus courtes et très ciblées peuvent être proposées, en individuel comme en groupe.