Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.
Cette année, le Salon des infirmiers met à l’honneur la santé intégrative : parmi les temps forts, une table ronde consacrée à ce sujet, animée par les fondateurs de l’Agence des MédecinesComplémentaires Adaptées (A-MCA), en partenariat avec des professionnels de terrain. Une rencontre précieuse pour sensibiliser les soignants, analyser les enjeux, partager des expertises et répondre aux interrogations grandissantes du public.
À l’occasion du Salon des infirmiers, le 26 mars2025, une table ronde dédiée à la santé intégrative a réuni Véronique Suissa, Dr Philippe Denormandie et Serge Guérin, cofondateurs de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA), aux côtés d’une patiente experte et de deux infirmiers formés respectivement à l’hypnose et à l’aromathérapie. L’objectif ? Sensibiliser les soignants à la santé intégrative, questionner la place des pratiques complémentaires sur le terrain et mettre en lumière les attentes et les usages des patients.
Face à l’évolution des pratiques soignantes et à la montée des attentes des patients, la santé intégrative s’impose comme une approche innovante et incontournable. Cette table ronde a rappelé combien il est essentiel d’informer les infirmiers – acteurs clés du parcours de soin – sur les complémentarités possibles entre médecine conventionnelle et pratiques complémentaires. « Méditation, hypnose, acupuncture, homéopathie, art-thérapies, aromathérapie ou encore phytothérapie sont autant de pratiques qui s’intègrent progressivement dans les services hospitaliers depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de leurs bienfaits, mais de structurer leur intégration, notamment à travers le développement d’unités de soins intégratifs », souligne Véronique Suissa, experte des médecines complémentaires.
Une évolution qui répond à une dynamique internationale et à une réalité de terrain. « Si la santé intégrative apparaît comme une démarche innovante, elle s’inscrit en réalité dans la continuité des savoirs médicaux actuels. Il ne s’agit plus uniquement de traiter des symptômes isolés, mais d’accompagner la personne dans sa globalité en mobilisant toutes les ressources disponibles. C’est le sens premier de la démarche intégrative »,précise-t-elle.
L’événement a réuni les trois cofondateurs de l’A-MCA :Véronique Suissa(docteure en psychologie),Philippe Denormandie(médecin) et Serge Guérin(sociologue), qui ont partagé leurs analyses respectives sur la place des médecines complémentaires dans le système de santé, leurs bénéfices mais aussi leurs limites. « Le concept de médecines complémentaires recouvre une grande diversité de pratiques. Il est essentiel de ne pas toutes les considérer sur le même plan », rappelle Véronique Suissa. Serge Guérin a insisté sur la dimension sociétale :« L’usage des pratiques complémentaires par les citoyens est un fait. Elles apportent confort et qualité de vie, ce qui explique leur succès croissant, notamment chez les seniors ou en EHPAD. » Philippe Denormandie ajoute: « Sensibiliser les soignants comme les citoyens est au cœur de notre mission et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons fondé l’A-MCA. ».
À leurs côtés, un hypnothérapeute, une infirmière et une patiente experte ont apporté un éclairage concret sur l’intégration des pratiques au quotidien, illustrant leur apport pour la gestion de la douleur, de l’anxiété ou encore des effets secondaires liés aux traitements. De plus en plus de soignants se forment à ces approches : « Médecins acupuncteurs ou experts en homéopathie, infirmiers formés à l’aromathérapie ou à la phytothérapie, psychologues spécialisés en hypnose ou en méditation : ces profils sont aujourd’hui monnaie courante », explique Véronique Suissa.
La table ronde s’est conclue par un dialogue riche avec les professionnels présents. Les nombreuses questions posées ont témoigné de l’intérêt croissant pour une approche globale et interprofessionnelle, au service de la qualité de vie.
Plus largement, les réflexions et partages d’expériences ont mis en lumière la transversalité du sujet : comment mieux intégrer l’hypnose ou l’aromathérapie dans les soins infirmiers ? Quelle est la place de l’homéopathie et de l’acupuncture dans le champ de la médecine intégrative ? Quelles pratiques privilégier selon les services, qu’il s’agisse de l’oncologie, de la gériatrie ou encore des soins palliatifs ? Autant d’interrogations qui ont suscité un débat constructif avec le public.
Cette rencontre a également été l’occasion de présenter les outils et ressources de l’A-MCA, conçus pour accompagner les professionnels comme les patients dans leurs besoins. « Nous ne nous attendions pas à autant de réflexions. Elles reflètent l’évolution des pratiques et des mentalités », a conclu Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA.
La table ronde s’est terminée par une séance de dédicace de Véronique Suissa pour son dernier ouvrage La société du bien-être (Michalon Éditions) ainsi que pour la collection « Les 20 grandes questions pour comprendre… » consacrée aux médecines complémentaires (homéopathie, sophrologie, art-thérapies, réflexologie, ostéopathie),co-dirigée avec Serge Guérin et Philippe Denormandie.