Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.
En juin 2020, Patricia Maarek découvre être atteinte d’un cancer du sein. Après sa période de traitement, elle est prise en charge au sein de l’Institut Rafaël (Levallois-Perret), où elle y suit un parcours d’accompagnement pluridisciplinaire personnalisé et coordonné.
« Lorsqu’on m’a découvert un cancer du sein, ce fût la douche froide, reconnaît Patricia Maarek. J’effectue des examens tous les ans, car ma maman a eu un cancer du sein également. Je n’allais certes pas de gaité de cœur faire ma mammographie, mais en me rendant chaque année toujours dans le même centre d’examen, j’étais plutôt sereine. » Après l’annonce, la prise en charge se met en place rapidement : biopsie, rencontre avec le chirurgien et l’oncologue, opération en juillet 2020, réalisation d’un oncotype. « Ce test a révélé que j’avais un risque de récidive, et que je devais faire de la chimiothérapie », explique Patricia Maarek. Celle-ci débute donc en septembre 2020 par treize séances, dont quatre particulièrement difficiles. Puis en janvier 2021, elle enchaîne avec trente séances de radiothérapie. « J’ai vécu des périodes au cours desquelles, psychologiquement, j’étais particulièrement affaiblie, souligne-t-elle. J’ai alors souhaité trouver un psychologue connaissant ce type de problématique. » C’est sa pharmacienne qui lui apprend l’existence de l’Institut Rafaël, structure offrant un accompagnement aux patients atteints d’un cancer, en pratiquant une médecine intégrative associant médecines conventionnelles et complémentaires. Après avoir consulté le site de l’Institut, Patricia Maarek prend contact avec eux pour raconter sa situation, ils acceptent alors de la prendre en charge.
En arrivant à l’Institut, Patricia Maarek se sent « introvertie, fatiguée, sans énergie, détruite, psychologiquement et physiquement », confie-t-elle. Et d’expliquer : « On s’habitue à se rendre quotidiennement dans les hôpitaux pour nos chimiothérapies et radiothérapies, et lorsque tout s’arrête, on se demande comment redémarrer notre nouvelle vie. » L’une des coordinatrices de la structure la reçoit en rendez-vous et lui propose un parcours de soins personnalisé. « Pendant six mois, j’ai bénéficié de plusieurs médecines complémentaires, comme la sophrologie, l’hypnose, la danse-thérapie, l’activité physique adaptée, le yoga », énumère-t-elle, en précisant avoir également profité d’un suivi avec un psychiatre et participé à un groupe de paroles. Et de poursuivre : « C’est un univers totalement nouveau qui s’est offert à moi. J’ai ressenti des bénéfices liés aux thérapies elles-mêmes et d’autres, liés à l’univers de l’Institut et à la relation nouée avec d’autres patientes. »
« J’étais sceptique quant aux médecines complémentaires, poursuit-elle. Puis, après trois mois, je n’étais plus la même. En suivant différents soins, je me suis rendu compte que j’avais construit un fil rouge dans ma tête avec l’objectif de me sentir plus légère, plus énergique. » Tout le processus se met en place lentement, puis, progressivement, son entourage commence à lui dire qu’elle semble de plus en plus en forme, qu’elle retrouve son dynamisme. « C’était selon moi le résultat de toutes les pratiques que j’avais suivies pendant plusieurs mois, estime-t-elle. Elles m’ont aidée à y voir plus clair. J’ai eu le sentiment que toutes ces disciplines, chacune avec leur spécificité, travaillaient en synergie. L’hypnose et la sophrologie ont été à cet égard très puissantes pour moi. » Quant à l’activité physique adaptée, le yoga et la danse, ils lui ont permis de se reconnecter à son corps.
« L’Institut Rafaël a été une passerelle entre la maladie et le retour à la vie, témoigne-t-elle. À la fin de mon parcours de soins, j’ai pris conscience que sans les thérapeutes, tellement bienveillants et si compétents, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. C’est donc à moi de rendre ce que je peux. » Aujourd’hui, Patricia Maarek fait partie de l’association de patients de l’Institut et œuvre à faire connaître la structure, à accompagner les nouveaux patients. « La boucle se boucle de cette manière, car aujourd’hui, ils ont besoin de bénévoles et je m’en sens capable », conclut-elle.