Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.
L’A-MCA a participé au Salon des seniors, qui s’est déroulé du 6 au 9 octobre à Paris. L’occasion d’intervenir à plusieurs tables rondes dont une dédiée aux médecines complémentaires et au bien-vieillir.
Animée par Serge GUÉRIN, co-fondateur de l’A-MCA, cette table ronde a permis d’offrir au public un regard croisé entre deux praticiennes dont les techniques et les champs d’intervention varient : Natalie FELDMAN, art-thérapeute à l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, et Elisabeth BRETON, relaxologue-réflexologue, dont l'Association est partenaire du Réseau Citoyen de l'A-MCA (RC-MCA).
Alors que l’art-thérapeute s’adresse généralement à un public déjà fragilisé, la réflexologie a plutôt vocation à intervenir dans le champ de la prévention et du bien-être. Nathalie FELDMAN a ainsi rappelé l’importance des émotions et de leur expression chez les personnes fragilisées par la maladie à travers la pratique de l’art. Élisabeth BRETON, quant à elle a montré l’impact de la réflexologie sur la gestion du stress. « Après avoir présenté les bienfaits de la réflexologie, j’ai pu, au cours de cette table-ronde, mettre l’accent sur les zones réflexes au niveau des mains, et montrer au public la possibilité de s’auto-stimuler, fait savoir Elisabeth BRETON. Travailler sur certains points précis permet une action réflexe sur l’appareil locomoteur et des effets sur la détente musculaire ainsi que sur le retour sanguin. »
Le spectre d’intervention des MCA est large et varie en fonction des disciplines, des publics et de l’expérience des praticiens. Néanmoins, des objectifs communs ont été pointés du doigt : l’attention à l’autre, l’individualisation ou encore l’adaptabilité selon les besoins des personnes ; l’apport de ces disciplines étant avant tout de préserver la santé de chacun.