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Fiches pratiques
Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé
Fiche pratique
Pratique acceptée

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

Fiche pratique

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Shiatsu : un accompagnement à une meilleure santé

Pratique d’origine japonaise, le shiatsu est considéré au Japon, comme une thérapie à part entière. Elle consiste à faciliter le bon équilibre structurel et fonctionnel du corps, ainsi que la circulation des énergies en faisant pression sur des points du corps.

Temps de lecture :
Lieu :
5mn
Publié le :
11/5/22
Catégorie :
Prévention, santé et modes de vie

« Shiatsu signifie étymologiquement ″pression avec les doigts″ et, par extension, ″pression avec les pouces″, explique Nathalie BERNARDINELLI, spécialiste en shiatsu et formatrice en école de shiatsu. Il s’agit d’un art du toucher dont l’origine se trouve au Japon. » Tokujiro Namikoshi est à l’origine de la structuration du shiatsu au début du XXe siècle. Il est parvenu, après des études et recherches menées aux États-Unis, à faire reconnaitre cette pratique comme une technique à part entière de la médecine traditionnelle japonaise dans les années 1950. « Cette reconnaissance a conduit à la mise en place d’un diplôme d’État au Japon, qui requiert environ 2 000 heures d’études et pratiques en école pour pouvoir passer l’examen », précise Nathalie BERNARDINELLI. Si Tokujiro Namikoshi a mis l’accent sur la physiologie et l’anatomie, l’un de ses élèves, Shizuto Masunaga, a intégré dans sa pratique la médecine traditionnelle chinoise (les méridiens notamment). Aujourd’hui, leurs deux écoles composent les deux courants principaux du shiatsu.

Stimuler l’homéostasie

Le shiatsu prend la personne en charge dans sa globalité. Il va agir sur quatre niveaux : anatomique / mécanique ; physiologique / système nerveux autonome ; énergétique / méridiens, circulation du Ki ; et émotionnel. « L’objectif est de stimuler l’homéostasie, c’est-à-dire la capacité d’auto-régulation et d’auto-guérison du corps », précise Nathalie BERNARDINELLI. Et de poursuivre : « En cherchant à potentialiser l’efficacité de l’homéostasie, on cherche à agir en prévention. » Ainsi, cette pratique s’inscrit dans l’accompagnement à une meilleure santé. « Nous allons agir, afin de faire en sorte que le problème ne revienne pas », insiste la spécialiste en shiatsu.  

La prise en charge proposée  

En amont d’une séance, le praticien interroge le patient, afin d’identifier les zones en déséquilibre. « Nous pouvons également, en fonction des pratiques, poser des questions, pour déterminer le profil énergétique de la personne, en vue de décider des méridiens qui vont être travaillés pour rééquilibrer la circulation de l’énergie vitale », fait savoir Nathalie BERNARDINELLI.  

Ainsi, le shiatsu permet d’agir en prévention, mais également sur des douleurs déjà installées : les douleurs de dos, les troubles du sommeil, les problèmes de gestion du stress et d’angoisse, les problèmes circulatoires, les troubles digestifs, etc.  

De plus, le shiatsu permet d’agir sur les effets secondaires des traitements en oncologie. « Nous allons permettre, par exemple, la poursuite des traitements en accompagnant les patients à mieux en tolérer les effets secondaires », ajoute-t-elle.  

Les praticiens peuvent être titulaires d’un titre reconnu au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) en tant que spécialiste en shiatsu 1. « Il s’agit d’une garantie de sérieux dans la structuration de la formation délivrée », soutient Nathalie BERNARDINELLI. Un Diplôme universitaire, dispensé à l’université des sciences et techniques d’Orléans, est également accessible aux professionnels formés au shiatsu ayant deux ans d’expérience 2.

1. Le RNCP a été suspendu en 2020 pour les praticiens du Shiatsu.

2. Pour 2022, le DU n'a pas été reconduit.

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