Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.
Le partage de valeurs communes autour de la prévention, a rapproché l’A-MCA et la Mutuelle Générale. Celle-ci a d’ailleurs décidé de devenir mécène de l’A-MCA.
C’est un signal fort qu’a décidé d’envoyer la Mutuelle Générale à son écosystème, en offrant son mécénat à l’A-MCA. Une décision révélatrice de son appui aux actions menées par l’A-MCA en faveur de l’information des citoyens autour des médecines complémentaires, par le soutien aux pratiques de prévention, la promotion de l’attention à la qualité de vie et la lutte contre tous types de dérives en santé. « Ce mécénat s’inscrit dans la raison d’être de la Mutuelle Générale, qui fait de l’amélioration de la qualité de vie un pilier central de son action », rappelle Véronique SUISSA.
Soucieuse d’accompagner l’ensemble de ses adhérents et de ses entreprises clientes, la Mutuelle Générale est attachée au développement de pratiques complémentaires et de dispositifs de prévention, contribuant au bien-être et à la santé de tous. Elle inclut depuis longtemps déjà, dans la plupart de ses contrats de complémentaire santé, une participation aux frais engagés par ses adhérents pour certaines MCA. De même qu’au travers son Observatoire solidaire, elle mène des travaux sur les bénéfices des MCA pour les salariés/aidants (prévention du stress, de la dépression et burn-out).
Travaux qu’elle a décidé d’approfondir pour œuvrer à la démocratisation des médecines complémentaires tout en luttant contre certaines, en s’entourant de l’expertise de l’A-MCA. « Un groupe de travail a été coordonné par la MG et piloté par l’A-MCA, afin de réfléchir à la question de la place des MCA chez les aidants, fait savoir Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QdV/QVCT au sein de l’A-MCA. Outre un éclairage sur les pratiques complémentaires, nous avons réfléchi aux aides à déployer au sein de l’entreprise, pour les salariés/aidants. » Ces ateliers ont conduit à l’élaboration de plans d’actions, qui pourront alors être mis en œuvre par la Mutuelle Générale. L’A-MCA apportera également son expertise sur les actions de la Mutuelle Générale dans le domaine : conseils stratégiques en matière de remboursement des pratiques, participation à un guide d’information sur le sujet des MCA ou participation à des ateliers pratiques.