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Fiches pratiques
Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie
Fiche pratique
Pratique acceptée

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

Fiche pratique

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

Fiche pratique
Pratique recommandée

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

Fiche pratique
Pratique rejetée

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Le nouvel opus de l’A-MCA dédié à la réflexologie

L’A-MCA a sorti, en février, son quatrième ouvrage de la collection des médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre la réflexologie.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
14/2/23
Catégorie :
Publications grand public

Ce quatrième opus de l’A-MCA s’inscrit dans la même dynamique que les précédents : une réflexion sur la prévention et la santé durable, le soin relationnel et, plus largement, le « prendre soin ». Comme pour chaque ouvrage, l’objectif n’est en aucun cas de juger la pratique, mais d’éclairer le débat, afin de découvrir et d’approfondir une approche complémentaire. Les précédents ouvrages avaient permis d’explorer des pratiques de nature médicale (homéopathie), psychocorporelle (sophrologie) et artistique (art-thérapies). Cette fois-ci, l’approche manuelle est privilégiée.

La réflexologie, une approche « bien-être » pour tous

La réflexologie n’est pas une technique de soin au sens médical du terme, mais bien une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être. Comme l’explique Elisabeth BRETON, relaxologue/réflexologue inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), présidente de l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP) et présidente de la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), « la réflexologie est une pratique manuelle reposant sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles ». Cette approche complémentaire a pour objectif de participer au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Elle peut être qualifiée d’approche préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie. Elle peut intervenir sur deux champs différents, bien que complémentaires : un champ bien-être (praticien en réflexologie), et un champ plus profond et précis impliquant la santé (réflexologue/réflexothérapeute), afin de soutenir l’équilibre des processus physiologiques en fonction de besoins précis. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement). Elle est aussi fréquemment déployée pour la prévention/gestion du stress. Avec l’essor de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), cette pratique s’intègre de plus en plus dans les entreprises pour le bien-être des salariés.

Attention à la formation

La réflexologie s’avère donc être une pratique complémentaire visant à apporter du bien-être à son bénéficiaire. Chaque réflexologue se doit de s’adapter à la personne en conjuguant « savoir/savoir-faire/savoir-être ». Comme expliqué dans l’ouvrage, la réflexologie est plurielle. « Les séances peuvent s’orienter, selon les situations, vers les pieds, les mains, le dos ou le crâne. Les spécificités de ces approches renseignent sur la diversité des techniques et des courants de pensée tout comme elles informent sur leurs apports et limites. » Ainsi, une initiation à la réflexologie permettra d’identifier l’intervenant sous le terme de « praticien en réflexologie ». Mais comme le précise l’ouvrage, si la formation repose sur des bases solides et des spécialisations en santé, on préférera alors le terme de « réflexologue ». Enfin, lorsque le praticien est aussi un professionnel de santé, on le qualifiera plutôt de « réflexothérapeute » pour rappeler que l’acte thérapeutique lui est réservé.  

Concernant la formation, l’ouvrage informe sur l’existence d’un titre RNCP de niveau 5 et de la suppression du titre RNCP de niveau 6. Dans le même temps, des organismes privés (non habilités à délivrer un titre RNCP) proposent pléthores de formations plus ou moins approfondies. Ce constat pose naturellement des questions quant aux niveaux disparates de qualifications des praticiens, qu’ils détiennent ou non un titre RNCP.

Dans tous les cas, l’ouvrage pointe les désaccords philosophiques de praticiens : disparité des écoles de pensées, convictions d’être ou non une pratique thérapeutique, importance ou non de délivrer un titre RNCP… Quoi qu’il en soit, l’A-MCA plaide pour les démarches visant à proposer des formations initiales et continues solides, qui conduisent à l’appropriation de nouvelles connaissances et compétences, afin d’approfondir l’expérience et l’expertise des praticiens de médecines complémentaires.  

Pour approfondir toutes ces questions, les trois fondateurs de l’A-MCA ont décidé d’organiser cet ouvrage, comme les trois précédents, autour de deux parties. La première, « Comprendre », s’attache à aborder les fondamentaux sur la réflexologie : la définition, la provenance de la pratique, les courants de pensée, les pratiques autour des mains et des pieds, celles autour du crâne, du visage et des oreilles, le déroulement d’une séance et les contre-indications. La seconde partie, « Débattre », aborde différents points de vue de citoyens, de médecins, de psys et différents champs d’intervention auprès des sportifs, des femmes enceintes, des enfants et des séniors.  

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