Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
*liste des établissements agréés consultable sur : https://bit.ly/3v0oFuG
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
*liste des établissements agréés consultable sur : https://bit.ly/3v0oFuG
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
*liste des établissements agréés consultable sur : https://bit.ly/3v0oFuG
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
*liste des établissements agréés consultable sur : https://bit.ly/3v0oFuG
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
*liste des établissements agréés consultable sur : https://bit.ly/3v0oFuG
L’ostéopathie est une thérapie manuelle basée sur une compréhension approfondie de l’anatomie et de la physiologie, qui s’intéresse à la situation d’un individu dans son environnement. Elle utilise un ensemble de techniques manuelles réalisées dans les limites physiologiques de la mobilité afin de prévenir ou remédier à des troubles fonctionnels qui affectent un ou différents systèmes du corps. L’ostéopathie est à distinguer de la masso-kinésithérapie et de la chiropraxie.
L’usage du titre d’ostéopathe est réservé aux titulaires du diplôme d’ostéopathe (DO) délivré par un établissement agréé, aux titulaires d’une autorisation d’exercice de l’ostéopathie délivrée par l’Agence régionale de santé du lieu d’exercice, ainsi qu'aux médecins, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes et infirmiers autorisés à exercer (DIU ou DU de médecine manuelle ostéopathie). Il requiert 5 ans de formation initiale ou continue.
Les effets indésirables sont mineurs et transitoires (fatigue, douleurs articulaires ou musculaires, restriction des mouvements, maux de tête, etc.). En cas d’apparition, persistance ou aggravation des symptômes, il faut consulter son médecin. Un risque de complication rare, mais grave existe notamment après des manipulations cervicales.
Les ostéopathes non-médecins sont tenus d’orienter le patient vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou un traitement médical. Il s’agit d’un soin complémentaire et, en aucun cas, un traitement curatif, a fortiori pour les pathologies graves. En cancérologie, les techniques manuelles faisant « craquer » les articulations ne sont pas conseillées sans avis médical.
Les ostéopathes non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco-obstétricales, touchers pelviens et la réalisation de manipulations cervicales, en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois, nécessitant un diagnostic établi par un médecin attestant de l’absence de contre-indication médicale. Mais attention : la manipulation (technique qui consiste à « faire craquer ») n’est qu’UNE des techniques de l’arsenal thérapeutique en ostéopathie.
Les consultations d’ostéopathie ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, mais le sont de plus en plus par les mutuelles.
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