Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.
La notion de santé durable est un terme récent, qui lie la santé à la préservation de l’environnement. Chacun peut être acteur à la fois pour son épanouissement personnel mais aussi pour la santé de tous.
La santé durable se définit, d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS) par « un bien-être physique, psychologique et social, maintenu tout au long de la vie, qui évolue dans des environnements où il y a un accès à des ressources humaines et matérielles de qualité, dispensées avec un souci d’équité sociale et de genre pour toutes les populations, incluant les groupes en situation de vulnérabilité et pour les générations futures ». C’est en 2002, lors du Sommet de la Terre de Johannesburg qu’a émergé cette notion, tandis que la COP 21 de 2015, marque une avancée majeure dans la prise de conscience mondiale quant à l’importance de l’environnement pour la protection et la survie des espèces terrestres.
Cette approche de la santé privilégie la prévention et la préservation de l’environnement, et prône une approche globale de la santé. L’enjeu est fondamental car les maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, dégénératives, respiratoires, auto-immunes ou encore le diabète, pourraient être prévenues grâce à la capacité des populations à agir sur leurs conditions et leurs habitudes de vie. « Ce qui est intéressant dans cette définition, c’est de voir que l’on sort du champ du tout environnement pur pour s’ouvrir à la santé », analyse le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et psychothérapeute. Et d’ajouter : « L’existence d’un lien entre la santé et l’environnement est acté, et
pour qu’une personne soit en bonne santé, il est désormais reconnu qu’elle doit bénéficier d’un environnent propice. » La notion de prévention prend également tout son sens. « L’humain fait partie d’un écosystème dont il doit prendre soin, pour qu’en retour, l’écosystème prenne soin de lui », précise le Pr BIOY. Les conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes peuvent être atteintes grâce à des habitudes de vie saines, un environnement favorable, non pollué, un accès à l’information, à l’éducation, à l’emploi. L’accessibilité est aussi un aspect important en santé durable tant il repose sur un principe d’égalité des chances. Les ressources appropriées comme l’eau, les aliments, les produits naturels favorables à la santé, les techniques de prévention et de soins doivent répondre aux besoins des personnes, être disponibles pour tous, sur tout le territoire et être utilisées à bon escient et de façon responsable.
« Pour être en total équilibre avec son environnement, l’individu doit également pouvoir en bénéficier spirituellement », soutient le Pr BIOY. Il peut s’agir de petites actions comme écouter le bruit du vent le matin dans les feuilles, ce qui place la personne dans un acte de méditation, bénéfique pour lutter contre le stress. Les exercices de respiration entrent dans cette même logique « de prévention, de philosophie de vie, qui permet d’agir bénéfiquement sur sa santé », ajoute-t-il. Sans compter l’usage des produits de la terre à des fins thérapeutiques avec par exemple les huiles essentielles, la phytothérapie, la sylvothérapie, etc. Ce qui explique notamment la présence de jardins thérapeutiques dans les structures de soins par exemple. Chaque individu peut donc être acteur pour une prévention active des maladies en préservant son environnement naturel.
Source : La Santé Durable : une orientation incontournable pour l’avenir de la santé, Dominique Chardon, Hegel Vol 7 n°1 2017.