Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE
Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La musicothérapie est une pratique d’accompagnement ou de rééducation utilisant son et musique comme outils au service des personnes et de leur mieux- être. Elle s’adresse généralement à des personnes fragiles présentant, par exemple, des difficultés liées à un trouble psychique, sensoriel, physique, neurologique, psychosocial ou développemental. Le travail s’appuie sur des protocoles et peut s'axer sur les fonctions cognitives, motrices, sensorielles, communicationnelles, relationnelles ou dans la gestion de la douleur.
Il existe des diplômes universitaires dédiés aux professionnels de la santé, de la filière éducative ou artistique et de l’enseignement musical. Si la durée et le format de ces diplômes sont variables selon les universités, les formations longues assurent au musicothérapeute un savoir théorique, pratique et clinique, solide de connaissances en psychologie, neuropsychologie, psychiatrie, psychopathologie, neurophysiologie de la musique ainsi que des techniques de musicothérapie. Le travail s'inscrit dans la pluriprofessionnalité, respecte les règles éthiques et le code de déontologie.
À ce jour, il n’existe pas encore de protection du titre et de régulation de l’exercice. Un individu, peu ou pas formé, usant du titre de musicothérapeute n’aura pas les outils théoriques et pratiques, nécessaires pour accompagner des personnes de façon adaptée. L’exercice de la musicothérapie par ces personnes constitue le risque principal de dérives.
La musicothérapie se base sur les effets de la musique sur le cerveau et les affects. Elle les met en œuvre dans une optique de compensation/amélioration fonctionnelle de l’individu et d'un soutien psychologique. Il existe des formations longues en musicothérapie, universitaires ou privées, garantissant le savoir pratique et théorique du praticien. Certaines mutuelles remboursent les prestations de musicothérapie.