Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
La sophrologie repose sur un entraînement du corps et de l’esprit, afin de développer ou de retrouver une forme de sérénité et de bien-être. Outre l’accompagnement par un sophrologue, un exercice personnel est également requis.
« La sophrologie est souvent définie comme une méthode aidant à gérer le stress, souligne Anne ALMQVIST, sophrologue, directrice de l’École supérieure de sophrologie appliquée (ESSA). Cependant, en fonction de la visée et de la recherche de la personne la pratiquant, il s’agit davantage d’une pédagogie de l’existence ou d’une thérapie existentielle. L’objectif est de se poser dans le monde et d’être acteur de ce monde, de se sentir exister et vivant. » La sophrologie s’adresse principalement aux personnes en souffrance, concernées par le stress, les troubles du sommeil, la dépression, ou encore le burn out.
Par sa pratique régulière, la sophrologie chercher à permettre à la personne de vivre les phénomènes de vie se présentant à elle. « On s’appuie sur la philosophie de la phénoménologie existentielle, c’est-à-dire qu’en sophrologie, on considère que toute expérience de vie, tout ce qui se présente à soi est un phénomène, et qu’il faut faire l’expérience de tous ces phénomènes sans jugement, sans a priori, explique-t-elle. Il s’agit d’un vrai travail sur la pensée et l’esprit. »
Cette méthode s’appuie sur des principes fondamentaux que le sophrologue doit s’attacher à transmettre à la personne. Tout d’abord, le principe du schéma corporel comme une réalité vécue, ce qui implique d’être attentif à son ressenti, à l’expression de ce que l’on est en train de vivre. Le principe d’action positive amène la personne à développer une attitude positive, à se trouver dans une forme de bienveillance, dans la quête de vivre les choses autrement. Le principe de réalité objective repose sur le fait d’être tenté d’être au plus près de ce que l’on vit, dans l’instant présent. Enfin, le principe d’adaptabilité soutient que la sophrologie s’adapte à tous.
Dans la pratique, la sophrologie s’appuie sur la respiration, permettant à la personne d’être dans l’instant. « L’objectif est de s’habituer à ne plus être dans le jugement et à vivre les expériences, les rencontres, les phénomènes, de manière unique à chaque instant », rapporte Anne ALMQVIST.
Pour y parvenir, la personne doit alterner entre des séances avec un sophrologue et un entraînement personnel. « Cette discipline permet de se libérer de pensées parfois anxiogènes, pour être à la rencontre de ce que l’on vit, ajoute-t-elle. On devient alors acteur de sa vie. » En moyenne, un minimum de dix séances sont nécessaires pour constater des effets qui vont varier en fonction de l’engagement personnel de chacun.
Si à l’origine, la sophrologie était cantonnée au milieu médical, elle s’est progressivement ouverte au développement personnel et à des thérapeutes non-médecins, pouvant se former via des Diplômes Universitaires (DU) ou au sein d’écoles référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).