Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.
Le Réseau citoyen de l’A-MCA (RC-MCA) et l’Association des réflexologues RNCP (ARRNCP), ont organisé le 26 juin, la première rencontre « praticiens », avec des réflexologues. Cette journée a permis d’échanger sur sur les enjeux d'un accompagnement de qualité en se focalisant sur le métier, les pratiques et la formation des praticiens.
L’évènement, coorganisé par le RC-MCA et l’ARRNCP, en collaboration avec la Chambre syndicale des réflexologues (CSR) et la Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie (FFPER), a eu vocation a faire un état de l'art des enjeux en réflexologie. Il s'agissait avant tout de « présenter le RC-MCA et la place des réflexologues au sein de ce réseau» explique Elisabeth BRETON, réflexologue et présidente de l’ARRNCP. « Cette première rencontre a été très bien accueillie par l’ensemble des praticiens présents. » ajoute-t-elle.
Après avoir abordé l’histoire de la réflexologie et la professionnalisation de l’activité de réflexologue, Elisabeth BRETON a retracé l’évolution de la profession, l’existence des différentes fédérations de réflexologie et l’obtention du premier titre inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (titre RNCP) validant une certification professionnelle reconnue par l’État, « un grand tournant dans l’histoire de la pratique », se félicite-t-elle. Les titres des premières écoles RNCP n’ont pas été renouvelés à ce jour. « Désormais, nous travaillons avec la branche professionnelle des métiers du bien-être de la Chambre nationale des professions libérales (CNPL) sur une charte des métiers du bien-être, pour une reconnaissance par le ministère du Travail », fait savoir la présidente de l’ARRNCP. À l’occasion de cette journée, Elisabeth BRETON a pu également présenter des sondages menés par l’ARRNCP en 2019 et en 2022 auprès des réflexologues, afin de s’informer sur l’évolution de leur pratique. « Ces sondages ont permis de constater l'augmentation d'interventions des réflexologues RNCP dans les Ehpad et les établissements de santé », a-t-elle précisé. Une évolution de la pratique constatée par l’A-MCA.
Cette rencontre a aussi permis de présenter l’A-MCA et ses activités auprès des réflexologues. Les actions visant à la professionnalisation des praticiens ont notamment été évoquées : séances de bien-être en entreprises, interventions/conférences pour le grand public. « L’un des enjeux pour la professionnalisation des praticiens reste la formation continue, d’autant plus lorsque les praticiens souhaitent s’orienter vers l’accompagnement de publics fragiles », indique Véronique SUISSA, directrice de l’A-MCA. Alice WARUSFEL, responsable de la formation et de la démarche QVD/QVCT, a d’ailleurs présenté les formations « spécialisantes » proposées par le partenaire professionnel de l'A-MCA; complémentaires à la formation « initiale » des réflexologues bien-être, souhaitant s’orienter dans l’accompagnement à la santé.
« Cette rencontre a suscité de vifs intérêts de la part des praticiens pour les actions du RC-MCA, a fait savoir Elisabeth BRETON. Et ce, d’autant plus que cette spécialisation est proposée à des praticiens de différentes disciplines. Cette pluriprofessionnalité est indispensable sur le terrain pour la prise en charge optimale des personnes. » Des réflexologues ont d’ailleurs témoigné des difficultés qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain, notamment en oncologie, dans leur rapport avec les professionnels de santé, dans leur reconnaissance et leur intégration au sein des établissements de santé, en raison du manque d’information autour du métier et de la discipline.
Face à ce constat, Véronique SUISSA a annoncé, lors de cette journée, que le prochain ouvrage de l’A-MCA portera sur la réflexologie.