Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La zoothérapie prend en compte les effets bénéfiques procurés par la relation humain/animal, dans le but d’apporter un mieux-être à l’homme dans le domaine éducatif, social et en support thérapeutique. Elle fait intervenir un praticien et son animal dans une relation triangulaire avec la personne. Au-delà, on parle d’animation médiatisée par l’animal. Le contact par les animaux et/ou la nature aurait des effets bénéfiques sur la santé physique et psychique. L’authenticité et l’absence de jugement de l’animal facilitent la création du lien, l’expression des ressentis, un travail sur l’affirmation de soi et les facultés cognitives.
Il existe des praticiens spécialisés à la médiation par l’animal, certifiés et inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP),et des Diplômes universitaires (DU) d’Anthropozoologie, etc. Les praticiens diplômés/certifiés doivent déjà avoir une certaine expertise de l’animal ou des animaux avec lesquels ils vont travailler et être formés à l’accompagnement relationnel. Une bonne connaissance des situations de handicap physique et/ou psychique est indispensable pour adapter les séances.
La zoothérapie ne comporte pas de risque particulier, à condition que le professionnel soit correctement formé à la médiation par l’animal, qu'il connaisse parfaitement son partenaire et que l’animal, lui-même, soit éduqué en ce sens. Cependant, une vigilance est nécessaire pour les problèmes d’allergie aux poils. Aujourd'hui, il existe certaines races de chiens créées pour être hypoallergéniques. Les animaux doivent être en bonne santé et sans parasites.
La médiation par l’animal est en pleine expansion. On la retrouve dans les structures médicosociales (Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, Institut médico-éducatif) ou sanitaires (Hôpitaux de soins généraux ou psychiatriques). La zoothérapie se pratique plutôt en unité de soins ou en libéral. Elle peut faire appel à des animaux très différents et fait actuellement l’objet d’études scientifiques sur son efficacité.