Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »
L’acupuncture consiste à manipuler de fines aiguilles en divers points du corps à des fins thérapeutiques
En France, sa pratique est considérée par la jurisprudence comme un acte médical. De fait, son exercice est réservé, dans le cadre de leurs spécialités, aux médecins, sages-femmes pour les actes en lien avec l’obstétrique, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et vétérinaires pour les actes de médecine vétérinaire.
Outre exercer l’un de ces quatre métiers, et proposer l’acupuncture dans le cadre de leur spécialité, les praticiens doivent également d’avoir suivi une formation universitaire et obtenu un diplôme universitaire (DU) ou interuniversitaire (DIU) ou une capacité de médecine, délivré par une faculté de médecine en lien avec l’exercice de l’acupuncture.
Tous autres praticiens exerçant l’acupuncture, quelles que soient leurs formations, qualités et compétences, s’exposent à des poursuites pénales pour exercice illégal de la médecine.
Pour rappel, l’article L.4161-5 du Code de la santé publique dispose : « Exerce illégalement la médecine, toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels (…), sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre. »