Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.
Le Salon des seniors s’est déroulé du 6 au 9 octobre à Paris, l’occasion pour l’A-MCA d’intervenir au cours de plusieurs tables rondes, dont l’une dédiée « aux médecines complémentaires et à la citoyenneté, le citoyen au cœur de sa santé ».
Patricia MAAREK, patiente de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, et Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA ont partagé, le temps de cette table-ronde, leur expérience des MCA.
Patricia MAAREK a d’abord témoigné sur son parcours en oncologie et son expérience des MCA dans le cadre de la prise en charge de son cancer. Elle a fait part de sa rencontre avec les différentes disciplines qui l’ont accompagnée dans son parcours de soins et des questionnements qu’elles ont suscités chez elle, notamment dans le choix des bons praticiens. Un sujet au cœur des actions de l’A-MCA et du RC-MCA.
De son côté, Philippe LE MENTEC, ostéopathe, conseiller national au sein d’Ostéopathes de France, partenaire du RC-MCA, a évoqué le recours aux MCA, dont l’ostéopathie, en complément des soins conventionnels, dans la prise en charge de pathologies lourdes. « L’ostéopathie a toute sa place dans ce contexte et s’inscrit dans une prise en charge pluridisciplinaire toujours en complément des traitements habituels, a-t-il indiqué. « Cette pratique propose une approche individuelle centrée sur le patient, qui permet de le prendre en charge dans sa globalité en tenant compte de son environnement et de son histoire de vie. » Dans ce contexte de la maladie et des traitements qui vont impacter le corps, la personne peut ressentir des douleurs et des tensions. « L’ostéopathie permet d’avoir à la fois une écoute et un toucher confortable, doux et sécurisant pour se réapproprier son corps, ce qui est souvent nécessaire lorsqu’il a été meurtri », a-t-il soutenu.