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Fiches pratiques
Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"
Fiche pratique
Pratique acceptée

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

Fiche pratique

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Muriel BENITAH : "L'optimisation des prises en charge est possible avec les MCA"

Muriel BENITAH

Co-fondatrice du salon MedInTechs

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
14/1/22
Catégorie :
Visions de terrain

Les 8 et 9 mars, se tiendra le salon de l’innovation médicale MedInTechs, ayant vocation à rassembler le grand public, les associations et fédérations de patients, les professionnels de la santé et des experts en nouvelles technologies. Le partenariat avec l’A-MCA et l’implication de Véronique SUISSA en tant que membre du conseil scientifique de MedInTech, permettent de positionner le sujet des MCA comme un des leviers d’innovation en santé. Le point avec l’une de ses cofondatrices, Muriel BENITAH.

Pourquoi organiser ce salon ?

Avec les trois autres cofondateurs, nous avons effectué un triple constat. Tout d’abord, l’investissement dans la santé est actuellement massif, avec des innovations très nombreuses arrivant en permanence sur le marché. Ces nouvelles technologies transforment le rapport des médecins à la santé. Mais pas seulement. Aujourd’hui, nous nous trouvons dans un monde où chacun d’entre nous s’intéresse à sa santé, par un autre prisme, comme acteur de son parcours de soin. De fait, les relations entre patients et professionnels de santé évoluent.

Le salon MedInTechs semble être une réponse à cette révolution. Nous avons souhaité la création d’un espace et d’un temps pour cette nouvelle manière de soigner et de prendre en main sa santé en rassemblant le grand public, l’écosystème de la santé, ainsi que les innovations et les nouvelles technologies. Ce salon organisé sur deux jours, avec 140 stands, une quinzaine de conférences de haut niveau et un peu plus d’une quarantaine d’ateliers, regroupera ce que la santé a de meilleur à offrir à tous les citoyens que nous sommes. Nous nous concentrons sur le cure et le care, avec la volonté de placer l’individu au centre, non plus comme patient, mais en tenant compte de son projet de vie avec une vision transversale de la santé.

De quelle manière les médecines complémentaires et alternatives (MCA) sont-elles intégrées dans l’organisation du salon ?

Notre comité scientifique est composé notamment de Véronique Suissa, co-fondatrice et Directrice générale de l’A-MCA, et d’Alain Tolédano, fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer, qui prônent l’essor d’une santé intégrative. Ils participent à la conception des conférences du Salon, dont certaines permettront d’aborder les MCA et plus largement le soin relationnel et non médicamenteux. Véronique Suissa et Alain Tolédano, animeront tous deux la conférence sur la santé intégrative composé de plusieurs experts de l’A-MCA tels que les Professeurs Antoine Bioy et Julien

Nizard. D’autres conférences sur le care seront portées et animés par les deux autres co-fondateurs de l’A-MCA, comme celles portant sur bien vieillir et le handicap respectivement modérées par le Pr Serge Guérin, et le Dr Philippe Denormandie.

Quels sont les enjeux autour des MCA ?

Nous sommes convaincus qu’il est possible d’optimiser l’accompagnement des usagers grâce au recours aux médecines complémentaires. Ces dernières apportent du confort, du réconfort et du bien-être aux personnes qui en font usage. Placer l’individu au centre est effectivement l’enjeu et l’esprit dans lequel nous sommes, d’autant plus que son rapport à la santé a évolué. Il est devenu acteur et il doit être pris en compte dans son intégralité, dans son bien-être, sa santé morale. Avec les MCA, nous retrouvons cette approche.

C’est en cela que notre salon est novateur, car nous nous attachons à présenter une nouvelle santé ; une santé non pas uniquement tournée vers la maladie et son traitement, mais abordant de nombreux aspects comme les nouvelles technologies, la société, l’éthique, le psychologique. Nous allons évoquer des sujets que tout le monde souhaite aborder dès lors qu’il est question de sa santé.

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