Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE
Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La chiropraxie est une thérapie manuelle visant les dysfonctionnements de l’appareil locomoteur ; elle repose principalement sur les actes de manipulations physiques (principalement vertébrales) et de mobilisations articulaires pouvant aussi être appelés « ajustements ».
L’usage du titre de chiropracteur est réservé aux titulaires du diplôme de docteur en chiropraxie, délivré par un établissement agréé par le ministère de la Santé après 5 ans de formation (environ 5 000 h). Les chiropracteurs doivent être inscrits sur une liste dressée par le directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle (article 75 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002).
Il peut exister des effets indésirables transitoires et bénins, douleurs, gêne passagère au niveau de la zone traitée et des risques de complication rares, mais graves (notamment après manipulations cervicales) : fracture vertébrale, AVC, névralgie cervico-brachiale, etc. La probabilité que se produise un événement indésirable fait partie des éléments que le chiropracteur prend en compte pour évaluer la pertinence d’un acte. Les chiropracteurs non-médecins sont néanmoins tenus d’orienter vers un médecin en cas de symptômes nécessitant un diagnostic ou leur aggravation, ou si les symptômes excèdent leur champ de compétence.
Attention : la chiropraxie est à distinguer de la masso-kinésithérapie (exercée par des professionnels de santé participant aux traitements de rééducation sur prescription médicale) et de l’ostéopathie. -Décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 (diplôme de docteur en chiropraxie) - Décret n°2011-32 du 7 janvier 2011 relatif aux actes et aux conditions d’exercice de la chiropraxie : les actes de manipulation du rachis cervical sont soumis à des restrictions, les chiropracteurs non-médecins ne peuvent effectuer de manipulations gynéco- obstétricales ou touchers pelviens. Et, sont habilités à effectuer des manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, seulement après qu’un diagnostic établi par un médecin atteste l’absence de contre-indication médicale à la chiropraxie.