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Fiches pratiques
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Fiche pratique
Pratique acceptée

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

À l’issu de ce colloque, une tribune a été publiée dans le journal Le Monde en faveur de la création d’une telle Agence. Une démarche qui s’est concrétisée à travers le dépôt d’une proposition de Résolution par huit parlementaires, une première en France.

Fiche pratique

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

À l’issu de ce colloque, une tribune a été publiée dans le journal Le Monde en faveur de la création d’une telle Agence. Une démarche qui s’est concrétisée à travers le dépôt d’une proposition de Résolution par huit parlementaires, une première en France.

Fiche pratique
Pratique recommandée

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

À l’issu de ce colloque, une tribune a été publiée dans le journal Le Monde en faveur de la création d’une telle Agence. Une démarche qui s’est concrétisée à travers le dépôt d’une proposition de Résolution par huit parlementaires, une première en France.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

À l’issu de ce colloque, une tribune a été publiée dans le journal Le Monde en faveur de la création d’une telle Agence. Une démarche qui s’est concrétisée à travers le dépôt d’une proposition de Résolution par huit parlementaires, une première en France.

Fiche pratique
Pratique rejetée

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

À l’issu de ce colloque, une tribune a été publiée dans le journal Le Monde en faveur de la création d’une telle Agence. Une démarche qui s’est concrétisée à travers le dépôt d’une proposition de Résolution par huit parlementaires, une première en France.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

L’A-MCA, organisateur d’un colloque sur les dérives en santé sous le haut patronage de Mme la Députée Laurence VANCEUNEBROCK

L’A-MCA a organisé le 22 février 2021 un colloque portant sur les dérives en santé avec la participation de la Mission Interministérielle de vigilance et de lutter contre les dérives sectaires (Miviludes) afin de promouvoir l’importance de l’éthique, de la pédagogie et de la démocratie sanitaire pour lutter contre les pratiques déviantes.

Temps de lecture :
Lieu :
5min
Publié le :
22/2/21
Catégorie :
Évènements Partenaires

Thérapies visant à « guérir » de l'homosexualité, mouvements anti-vaccins, abus de faiblesse, certificats de virginité, sectes guérisseuses sont autant de pratiques déviantes observées en France. Dans un contexte sanitaire et social sous tension, s'appuyer sur l'éthique, la pédagogie et la démocratie constitue un véritable levier pour rassembler et lutter collectivement contre la prolifération de ces dérives qui portent atteinte à la laïcité et aux droits des personnes. Le colloque organisé par l’A-MCA a permis d’en débattre et d’évoquer des pistes d’actions concrètes en faveur d’une plus grande cohésion et protection en santé.

Un encadrement adéquat

A l’occasion de cet événement, la députée de la Seine-Maritime Agnès FIRMIN LE BODO est intervenue afin d’évoquer le soutien qu’elle a accordé à la création de l’A-MCA et aux missions que s’est fixée l’Agence. « Le contexte de la crise sanitaire nous amène encore plus à réfléchir aux questions liées au complotisme, aux fake news, a-t-elle expliqué. De fait, la création d’une Agence qui, dans le domaine des pratiques complémentaires, alternatives, douces, met en place un certain contrôle me paraît essentiel. » Et de préciser : « Je suis pharmacienne de formation, donc plutôt cartésienne, mais cela ne m’empêche pas de constater que de plus en plus de personnes ont recours à ces pratiques alternatives. Les interdire me paraît alors une mauvaise idée puisqu’elles existent. Mieux vaut-il les encadrer afin d’éviter toute possibilité de charlatanisme. » Un encadrement au niveau de la formation et de l’exercice en tant que tel, afin de permettre aux patients de disposer de l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour effectuer un choix éclairé sur leur praticien.

Vers la création d’une agence gouvernementale ?

C’est en écoutant l’ensemble des problématiques évoquées lors du colloque et les nombreuses dérives dont sont victimes les Français, qu’Agnès FIRMIN LE BODO a pensé à la création d’une Agence gouvernementale qui, en parallèle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), travaillerait exclusivement sur les MCA. « Créer cette agence ne veut en aucun cas dire mettre en avant ce type de pratiques par rapport à la médecine conventionnelle, mais bien qu’il faille les encadrer et mieux les définir, afin de protéger ceux qui y ont recours, a-t-elle soutenu. C’est dans l’intérêt de tous. ».

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