Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
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Fiche verte : MCA ACCEPTÉE Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le soutien psychologique consiste à apporter une écoute et des conseils sur une situation spécifique ou des difficultés. En séances individuelles ou groupales, ce temps d'écoute permet de livrer son vécu affectif, ses angoisses et/ou tout autre symptôme au professionnel, de questionner ou discuter un sujet préoccupant. Il diffère d’une prise en charge thérapeutique pour laquelle le professionnel est en mesure d’orienter vers des personnes compétentes.
Psychiatres, psychologues, infirmiers psychiatriques et cliniciens spécialisés sont les principaux professionnels habilités à dispenser des séances de soutien.
De fait, psychiatres (formation de Docteur en médecine spécialisé dans le diagnostic et traitement des troubles mentaux) et psychologues (Master en psychologie) sont formés ; les infirmiers et cliniciens doivent suivre un complément de formation ; et au sein de certaines associations proposant le soutien psychologique, les bénévoles bénéficient de formations spécifiques à l’écoute et l’orientation de personnes en difficultés.
Le professionnel doit être neutre, ouvert, bienveillant, pour une écoute sans jugement et un accueil de toutes les émotions. Il existe un risque de dérives lorsque le professionnel impose sa vision et pense détenir « LA » solution. Le risque est encore plus élevé s’il existe une tentative d’emprise et de détournement de l’entourage. En cas de doute, vous avez toujours la liberté d’interrompre les séances.
Pouvoir s’assurer que l’intervenant ait la formation nécessaire pour pratiquer ce type d’accompagnement doit être facile. Pour une prise en charge thérapeutique, il est possible de poursuivre avec le même interlocuteur s’il en a les compétences, ou être orienté vers un autre professionnel. Ce changement doit être discuté et accepté par les deux parties. L’important est d’avoir confiance en son interlocuteur.
