Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation, largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comporte pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer
La socio-esthétique est une pratique professionnelle destinée aux personnes fragilisées par une atteinte à leur intégrité physique, psychique ou sociale. Proposée au sein des établissements médicaux ou médicosociaux, elle peut se décliner avec des applications précises, notamment en onco-esthétique.
La socio-esthétique fait partie des pratiques recommandées par les autorités sanitaires et sociales, notamment dans le cadre de soins de support. Inscrite dans des projets d’accompagnement ou de soins établis par les équipes médicosociales, cette pratique constitue un accompagnement complémentaire sur le plan physique et psychologique. Par l’écoute et le toucher, la socio-esthétique permet aux personnes de reconstituer leur image avec des soins, de retrouver leur dignité et leur confiance en elles et de se voir prodiguer des conseils. Cette pratique vise, en outre, à maintenir un lien social. « Il s’agit d’un domaine holistique concernant le soin à autrui dans un but d’embellissement, de confort et de bien-être, explique Marie ALAVOINE, onco-esthéticienne à l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer. Cette pratique est exercée auprès d’un public large, notamment dans les établissements hospitaliers, tous services confondus, dans les maisons de retraite, auprès des femmes battues ou encore en milieu carcéral. »
Dans les services hospitaliers ou au sein des structures médicales et médicosociales, la socio-esthétique se décline, notamment en oncologie. L’onco-esthétique va ainsi se définir « comme un ensemble de techniques esthétiques classiques adaptées ou réadaptées aux personnes sous traitement oncologique », rapporte Marie ALAVOINE. Une grande variété de soins peut être proposée aux personnes, accompagnées à tous les stades de la maladie : à l’annonce du cancer, pendant les traitements (chimiothérapie, radiologie, immunothérapie, chirurgie) et jusqu’à la rémission.
Les onco-esthéticiennes vont, par exemple, proposer des soins du visage, importants pour la réhydratation de la peau. Elles s’adaptent à la sensibilité de la peau, variant en fonction des traitements. « Nous pouvons également effectuer des modelages de l’ensemble du corps, non pas dans une finalité de soins, mais de détente et de bien-être », précise Marie ALAVOINE.
Les onco-esthéticiennes dispensent également des approches spécifiques pour les mains : réhydratation, massages et soins adaptés pour les ongles, souvent détériorés par les traitements. Enfin, elles dispensent tout un pan de conseils capillaires en lien avec les traitements oncologiques sur la perte des cheveux, leur détoxination, les prothèses capillaires ou encore les accessoires.
Pour exercer en socio-esthétique, une formation initiale en esthétique est obligatoire (CAP, BP, Bac Pro ou BTS). Elle s’accompagne d’une formation complémentaire dispensée, soit dans le cadre d’un Diplôme Universitaire (DU), soit par un organisme privé enregistré au Répertoire nationale des certifications professionnelles (RNCP). « Dans le domaine de la socio-esthétique, il est intéressant de se former au-delà du CAP, car en BTS ou en Bac Pro, par exemple, de nombreux stages sont proposés, permettant de détenir une première approche auprès des personnes fragilisées », conseille Marie ALAVOINE.
La socio-esthétique étant dispensée auprès de personnes fragiles, elle impose en effet une formation solide des praticiens. Pratiquée par un intervenant formé et incluse dans des projets définis par des équipes pluridisciplinaires, la socio-esthétique est sans risque. A contrario, le manque d’encadrement médical/paramédical peut en constituer